Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
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- Maître 1er Dan
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Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
Bonjour,
Pas grand-chose du côté des traductions françaises de la série de SF anglaise Dan Dare : une poignée de fascicules chez Lug, quelques albums aux Humanoïdes associés.
En février 1980, Mon Journal lance dans Sunny Sun – revue sœur d’Antares qu’elle anticipe de dix-huit mois – une série de 22 épisodes du dessinateur Dave Gibbons et du scénariste Tom Tully sous la curieuse appellation « Supercrack » (n° 27 à 48).
http://bdmonjournal.free.fr/sunnysun.htm
http://www.comicbd.fr/Ep-Supercrack.html
Les auteurs commencent fort en plaçant les premiers épisodes sous le signe du visqueux. Les débuts en effet relèvent des errements de la matière organique.
Ainsi, dans « Le monde des Biogs », avec ces êtres artificiels biologiques ressemblant à du plastique plus ou moins fondu et qui initient la série dès la première couverture (n° 27).
Pas grand-chose du côté des traductions françaises de la série de SF anglaise Dan Dare : une poignée de fascicules chez Lug, quelques albums aux Humanoïdes associés.
En février 1980, Mon Journal lance dans Sunny Sun – revue sœur d’Antares qu’elle anticipe de dix-huit mois – une série de 22 épisodes du dessinateur Dave Gibbons et du scénariste Tom Tully sous la curieuse appellation « Supercrack » (n° 27 à 48).
http://bdmonjournal.free.fr/sunnysun.htm
http://www.comicbd.fr/Ep-Supercrack.html
Les auteurs commencent fort en plaçant les premiers épisodes sous le signe du visqueux. Les débuts en effet relèvent des errements de la matière organique.
Ainsi, dans « Le monde des Biogs », avec ces êtres artificiels biologiques ressemblant à du plastique plus ou moins fondu et qui initient la série dès la première couverture (n° 27).
Modifié en dernier par Nutello le ven. 02 févr. 2018, 22:49, modifié 5 fois.
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- Maître 1er Dan
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Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
Cela continue dans le même fascicule avec les entités nommées Biogs, énormes masses de chair flottantes semblables à de monstrueux acariens mais aux pattes remplacées par d’innombrables suçoirs. Les personnages – et les lecteurs – ont l’occasion de découvrir ces repoussantes créatures de l’intérieur autant que de l’extérieur quand l’une d’entre elles les aspire dans ses propres entrailles suintantes pour les transporter en un autre lieu.
Tout cela prend place en guise de paysage dans un grouillement de formes organiques et fongiques plus ou moins tentaculaires et arborescentes (n° 27 p. 33, n° 28 p. 6).
Pour parachever le tableau, ces êtres voyagent dans un vaisseau spatial de matière vivante aux hideux replis de chair extravagants surmontés d’une gigantesque méduse (n° 28) et certains affrontements entre vaisseaux spatiaux prennent des allures bien ahurissantes de pullulements de formes enchevêtrées indéfinissables (n° 28 p. 10-12, 25, 27-39, 31).
Dave Gibbons semble là s’être ingénié à porter à son paroxysme une sorte de hideur organique en mettant en avant des plis et des replis de chair et des appendices incertains évoquant un monde de larves, de vers, de mollusques portés ici à des tailles démesurées.
Et le dessinateur représente même certains éléments non-organiques sous un aspect de formes déliquescentes, ainsi un orage magnétique (n° 27 p. 19).
Tout cela prend place en guise de paysage dans un grouillement de formes organiques et fongiques plus ou moins tentaculaires et arborescentes (n° 27 p. 33, n° 28 p. 6).
Pour parachever le tableau, ces êtres voyagent dans un vaisseau spatial de matière vivante aux hideux replis de chair extravagants surmontés d’une gigantesque méduse (n° 28) et certains affrontements entre vaisseaux spatiaux prennent des allures bien ahurissantes de pullulements de formes enchevêtrées indéfinissables (n° 28 p. 10-12, 25, 27-39, 31).
Dave Gibbons semble là s’être ingénié à porter à son paroxysme une sorte de hideur organique en mettant en avant des plis et des replis de chair et des appendices incertains évoquant un monde de larves, de vers, de mollusques portés ici à des tailles démesurées.
Et le dessinateur représente même certains éléments non-organiques sous un aspect de formes déliquescentes, ainsi un orage magnétique (n° 27 p. 19).
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- Maître 1er Dan
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Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
Les épisodes suivants « La planète de feu » présentent un mutant à deux têtes au torse constitué de replis de chair particulièrement repoussants (n° 29-32).
Le lecteur a encore droit sur plusieurs pages à la putréfaction vivante d’un membre d’équipage (n° 29 p. 26-31), à l’apparition d’une immonde créature gélatineuse entre la limace et l’amibe (n° 30 p.13, 14), à un personnage jeté vif à des vers dévorateurs (n° 30 p. 16, 17).
Nous avons même droit à une étonnante image d’écorché des deux êtres siamois (n° 31 p. 5).
Étrangement, de même que pour l’orage magnétique précédent (n° 27 p. 19). le dessinateur représente sous un aspect de forme vivante tourmentée le simple atterrissage d’un vaisseau (n° 29 p. 40).
Perdus dans ces suites de formes éprouvantes, le lecteur a occasionnellement droit, pour changer un peu d’esthétique, à quelques rares portraits féminins psychédéliques (n° 27 p. 13, n° 31 p. 7).
Modifié en dernier par Nutello le ven. 02 févr. 2018, 22:51, modifié 3 fois.
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- Maître 1er Dan
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Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
Et l’horreur organique se poursuit incidemment de ci de là, même si de façon de plus en plus épisodique.
Dans « La planète de cauchemar », ce sont des sortes de cosses végétales qui prennent la forme d’humains comme dans les films sur le thème de "L’invasion des profanateurs de sépulture" (n° 37).
Dans « Les dévoreurs », on retrouve d’autres créatures faites d’énormes masses de chair boursoufflées percées d’orifices bourgeonnants guère attirants (n° 38).
À ces aspects de matière organique repoussante est associée le thème de la dévoration et de l’engloutissement. Ces créatures se nourrissent de formes vivantes et cherchent régulièrement à faire des terriens qui les croisent leur repas.
Ainsi encore des vers géants aux gueules démesurées en ouverture de « Les dévoreurs » (n° 38) ou dans l’épisode « Paradis de malheur » (n° 40).
Je signalerai encore cette spectaculaire créature proprement indescriptible en ouverture de « La pieuvre de l’espace » (n° 39).
Dans « La planète de cauchemar », ce sont des sortes de cosses végétales qui prennent la forme d’humains comme dans les films sur le thème de "L’invasion des profanateurs de sépulture" (n° 37).
Dans « Les dévoreurs », on retrouve d’autres créatures faites d’énormes masses de chair boursoufflées percées d’orifices bourgeonnants guère attirants (n° 38).
À ces aspects de matière organique repoussante est associée le thème de la dévoration et de l’engloutissement. Ces créatures se nourrissent de formes vivantes et cherchent régulièrement à faire des terriens qui les croisent leur repas.
Ainsi encore des vers géants aux gueules démesurées en ouverture de « Les dévoreurs » (n° 38) ou dans l’épisode « Paradis de malheur » (n° 40).
Je signalerai encore cette spectaculaire créature proprement indescriptible en ouverture de « La pieuvre de l’espace » (n° 39).
Modifié en dernier par Nutello le lun. 23 avr. 2018, 17:35, modifié 4 fois.
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- Maître 1er Dan
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Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
Le reste de la série correspond à des éléments science-fictifs moins notables, avec des vampires, des arbres vivants loin de ceux du Titan de Pierre Dupuis, des dictateurs et des révoltes de peuples opprimés.
Certains épisodes sont particulièrement dignes d’attention.
Dans « Le temps des hommes d’or », Dan Dare et son équipage à la recherche de vaisseaux terriens disparus croisent dans le vide spatial un titanesque vaisseau qui les capturent. Le lecteur suit les déambulations des personnages dans leur découverte progressive du gigantesque navire empli de périls, jusqu’à leur arrivée devant une porte colossale derrière laquelle ils accèdent à la révélation finale. Le vaisseau erre depuis des milliers d’années, son équipage extraterrestre ayant été décimé par une épidémie, et poursuit seule la mission pour laquelle il a été programmé : explorer l’univers et y prélever, dans un but de connaissance, des échantillons de formes de vie dans les mondes qu’il rencontre dans sa course éternelle.
Mais, avec le temps, l’ordinateur du vaisseau s’est progressivement déréglé, le conduisant à poursuivre sa mission d’une (mal)façon de plus en plus agressive et violente à l’égard des formes de vie rencontrées. Dans le même temps est ainsi résolue l’énigme qui court depuis onze épisodes, la raison de la disparition des divers vaisseaux spatiaux terriens venus dans cette partie de la galaxie et qui ont eux aussi croisé ce vaisseau et en ont été victimes. Le récit s’achève avec l’anéantissement des deux vaisseaux spatiaux et de l’équipage de Dan Dare, lequel demeure seul survivant, perdu dans l’immensité du vide (n° 42).
Anecdote : dans une case de ce récit apparaît dans le décor le robot féminin du film Métropolis de Fritz Lang de 1927 (p. 9).
Dans « La pieuvre de l’espace », les voyageurs spatiaux croisent des êtres de pensée qui leur font apparaître des visions morbides particulièrement spectaculaires, puis parviennent sur une planète gelée où ils délivrent l’un des derniers représentants d’une espèce quasi-éteinte, prisonnier au sein d’une pyramide de glace (n° 39).
Certains épisodes sont particulièrement dignes d’attention.
Dans « Le temps des hommes d’or », Dan Dare et son équipage à la recherche de vaisseaux terriens disparus croisent dans le vide spatial un titanesque vaisseau qui les capturent. Le lecteur suit les déambulations des personnages dans leur découverte progressive du gigantesque navire empli de périls, jusqu’à leur arrivée devant une porte colossale derrière laquelle ils accèdent à la révélation finale. Le vaisseau erre depuis des milliers d’années, son équipage extraterrestre ayant été décimé par une épidémie, et poursuit seule la mission pour laquelle il a été programmé : explorer l’univers et y prélever, dans un but de connaissance, des échantillons de formes de vie dans les mondes qu’il rencontre dans sa course éternelle.
Mais, avec le temps, l’ordinateur du vaisseau s’est progressivement déréglé, le conduisant à poursuivre sa mission d’une (mal)façon de plus en plus agressive et violente à l’égard des formes de vie rencontrées. Dans le même temps est ainsi résolue l’énigme qui court depuis onze épisodes, la raison de la disparition des divers vaisseaux spatiaux terriens venus dans cette partie de la galaxie et qui ont eux aussi croisé ce vaisseau et en ont été victimes. Le récit s’achève avec l’anéantissement des deux vaisseaux spatiaux et de l’équipage de Dan Dare, lequel demeure seul survivant, perdu dans l’immensité du vide (n° 42).
Anecdote : dans une case de ce récit apparaît dans le décor le robot féminin du film Métropolis de Fritz Lang de 1927 (p. 9).
Dans « La pieuvre de l’espace », les voyageurs spatiaux croisent des êtres de pensée qui leur font apparaître des visions morbides particulièrement spectaculaires, puis parviennent sur une planète gelée où ils délivrent l’un des derniers représentants d’une espèce quasi-éteinte, prisonnier au sein d’une pyramide de glace (n° 39).
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- Tovenaar
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Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
Seuls les Dan Dare des années 50 m'intéressent.
Je les ai tous en VO.
Les épisodes plus tardifs n'ont absolument rien à voir avec la géniale série de Frank Hampson et de son studio ainsi que l'épisode dessiné par Frank Bellamy.
Et je ne les apprécie pas.
Et puis, pour moi, ce n'est PAS du Dan Dare que l'on peut lire dans Sunny Sun : c'est un de ses descendants !
Mais bravo pour ce nouveau sujet !
Je les ai tous en VO.
Les épisodes plus tardifs n'ont absolument rien à voir avec la géniale série de Frank Hampson et de son studio ainsi que l'épisode dessiné par Frank Bellamy.
Et je ne les apprécie pas.
Et puis, pour moi, ce n'est PAS du Dan Dare que l'on peut lire dans Sunny Sun : c'est un de ses descendants !
Mais bravo pour ce nouveau sujet !
Don't Cast Pearls Before Swine Empty Vessels Make Most Noise
- jmrazer
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Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
t'as la dent dure
- Tovenaar
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Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
Non. Ce Dan Dare est officiellement un descendant du Dan Dare d'origine.jmrazer a écrit :t'as la dent dure
Il ne lui ressemble même pas physiquement.
En fait, c'est une autre série.
Don't Cast Pearls Before Swine Empty Vessels Make Most Noise
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- Manitou
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Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
Les Dan Dare que tu montres viennent de 2000 AD. C'est paru à partir de 1976-1977. Au départ, c'est Massimo Belardinelli aux dessins, Dave Gibbons vient plus tard.
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- Manitou
- Enregistré le : lun. 01 sept. 2003, 02:00
- Localisation : Amiens
Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
Dan Dare a été publié dans l'hebdomadaire anglais 2000 AD progs 1 à 85 et 100 à 126 du 26 février 1977 au 18 août 1979 et en France dans SUNNY SUN n°27 à 48.
Le principal scénariste est Gerry Finley-Day. Tom Tully est venu beaucoup plus tard (pour écrire les épisodes publiés dans 2000 AD progs 100 à 126 qui ont dû être publiés dans SUNNY SUN n° 42 à 48).
SUNNY SUN n°27 à 30 dessins de Massimo Belardinelli
SUNNY SUN n° 39 pages 1 à 20 dessins de Brian Lewis (correspond à 2000 AD progs 61 à 63)
Les autres épisodes ont été réalisés par Dave Gibbons parfois assisté de Brian Bolland (2000 AD progs 32 à 37, ce qui doit correspondre à SUNNY SUN n°33 et 34 - pas sûr). Il y a eu aussi Trevor Loring et Garry Leach comme dessinateurs remplaçants (épisodes publiés dans 2000 AD progs 79 à 84 et semblant corresponsdre en France à une partie de l'épisode publié dans SUNNY SUN n°42)
Le principal scénariste est Gerry Finley-Day. Tom Tully est venu beaucoup plus tard (pour écrire les épisodes publiés dans 2000 AD progs 100 à 126 qui ont dû être publiés dans SUNNY SUN n° 42 à 48).
SUNNY SUN n°27 à 30 dessins de Massimo Belardinelli
SUNNY SUN n° 39 pages 1 à 20 dessins de Brian Lewis (correspond à 2000 AD progs 61 à 63)
Les autres épisodes ont été réalisés par Dave Gibbons parfois assisté de Brian Bolland (2000 AD progs 32 à 37, ce qui doit correspondre à SUNNY SUN n°33 et 34 - pas sûr). Il y a eu aussi Trevor Loring et Garry Leach comme dessinateurs remplaçants (épisodes publiés dans 2000 AD progs 79 à 84 et semblant corresponsdre en France à une partie de l'épisode publié dans SUNNY SUN n°42)
- drou
- Maître Jedi
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Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
superbe article de plus
on peut retrouver pratiquement toutes les couvertures de Sunny Sun ici
http://bdmonjournal.free.fr/sunny/index.htm
grâce au site de Dominik
on peut retrouver pratiquement toutes les couvertures de Sunny Sun ici
http://bdmonjournal.free.fr/sunny/index.htm
grâce au site de Dominik
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- Maître 1er Dan
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Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
Bonjour,Fin Fang Foom a écrit :Dan Dare a été publié dans l'hebdomadaire anglais 2000 AD progs 1 à 85 et 100 à 126 du 26 février 1977 au 18 août 1979 et en France dans SUNNY SUN n°27 à 48.
Le principal scénariste est Gerry Finley-Day. Tom Tully est venu beaucoup plus tard (pour écrire les épisodes publiés dans 2000 AD progs 100 à 126 qui ont dû être publiés dans SUNNY SUN n° 42 à 48).
SUNNY SUN n°27 à 30 dessins de Massimo Belardinelli
SUNNY SUN n° 39 pages 1 à 20 dessins de Brian Lewis (correspond à 2000 AD progs 61 à 63)
Les autres épisodes ont été réalisés par Dave Gibbons parfois assisté de Brian Bolland (2000 AD progs 32 à 37, ce qui doit correspondre à SUNNY SUN n°33 et 34 - pas sûr). Il y a eu aussi Trevor Loring et Garry Leach comme dessinateurs remplaçants (épisodes publiés dans 2000 AD progs 79 à 84 et semblant corresponsdre en France à une partie de l'épisode publié dans SUNNY SUN n°42)
Ah d'accord. Merci pour ces précisions.
Donc en fait, ce n'est pas du Dave Gibbons partout, et ce sont des âneries que j'ai donc trouvées...
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- Manitou
- Enregistré le : lun. 01 sept. 2003, 02:00
- Localisation : Amiens
Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
Les extraits que tu as mis, ce sont des dessins de Massimo Belardinelli.Nutello a écrit :Bonjour,Fin Fang Foom a écrit :Dan Dare a été publié dans l'hebdomadaire anglais 2000 AD progs 1 à 85 et 100 à 126 du 26 février 1977 au 18 août 1979 et en France dans SUNNY SUN n°27 à 48.
Le principal scénariste est Gerry Finley-Day. Tom Tully est venu beaucoup plus tard (pour écrire les épisodes publiés dans 2000 AD progs 100 à 126 qui ont dû être publiés dans SUNNY SUN n° 42 à 48).
SUNNY SUN n°27 à 30 dessins de Massimo Belardinelli
SUNNY SUN n° 39 pages 1 à 20 dessins de Brian Lewis (correspond à 2000 AD progs 61 à 63)
Les autres épisodes ont été réalisés par Dave Gibbons parfois assisté de Brian Bolland (2000 AD progs 32 à 37, ce qui doit correspondre à SUNNY SUN n°33 et 34 - pas sûr). Il y a eu aussi Trevor Loring et Garry Leach comme dessinateurs remplaçants (épisodes publiés dans 2000 AD progs 79 à 84 et semblant corresponsdre en France à une partie de l'épisode publié dans SUNNY SUN n°42)
Ah d'accord. Merci pour ces précisions.
Donc en fait, ce n'est pas du Dave Gibbons partout, et ce sont des âneries que j'ai donc trouvées...
Ma source vient du Fleetway Companion, un ouvrage qui référence les séries publiées dans les publications de l'éditeur anglais Fleetway (dont 2000 AD faisait partie).
- Tovenaar
- Administrateur
- Enregistré le : mar. 11 avr. 2006, 03:34
- Localisation : De Tovenarij
Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
J'ai modifié le titre pour un mieux.
Don't Cast Pearls Before Swine Empty Vessels Make Most Noise
- Doc Mars
- Maître 3e Dan
- Enregistré le : jeu. 29 oct. 2015, 17:47
- Localisation : Mons Olympus
- Contact :
Re: Dan Dare (Supercrack) dans Sunny Sun
Et cela a été fait dare-DareTovenaar a écrit :J'ai modifié le titre pour un mieux.
Ceci dit le dessin de Supercrack est plutôt moche dans certains épisodes
* Je recherche: Aigle d'or (série 1) n°3-7-22; Antares n°111; Arc en Ciel n°1-15; Astrotomic n°38; Biggles n°11-20; Big Horn n°12-13-15-16-17-26-28; Biribu n°10; Bison Noir (SFP) n°6-10; Bliz n°4; Cap.7 (2e série) n°2-8; Fantasia n°27; French Bill n°21-22-23; Flingo n°9-16-26; Hoppy (série 1) n°1-4; Hoppy (série 2) n°7; Jim Taureau (3 PF) n°6-13-20; Joé Texas n°18-35; Johnny Speed n° 21; Johnny Texas n°37-47-48-49; Kali n°2; Kid Colorado (SER) n°18-25; King la Jungle n°9-10; Kwaï Noblesse n°10; Lancelot n°94-100; Marco Polo album n°16; Old Bridger et Creek n°67-71; Pato n°5; Pecos Bill (série 2) n°15; Princesse n° 23-43-51-56; Rancho n°9-10-14-21; Sans Peur n°104 (03-04/1960 -SEG); Super Boy n°100-103; Super J n°29; Teddy (série 1) n° 3-4; Tenax n°1-3-14; Totem (série 2) n°3-4; Yowa n°6;
"Si on ne peut avoir la réalité, un rêve vaut tout autant." Ray Bradbury, Chroniques Martiennes
Mars et la Science-Fiction http://www.sfmars.com
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