L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Le roman populaire sous toutes ses formes : Science-Fiction, Fantastique, Heroïc Fantasy, Horreur, Polars, Livres dont vous êtes le héros, Bibliothèque Rose & Verte, etc.
Avatar du membre
RV
Maître Jedi
Maître Jedi
Enregistré le : mer. 17 sept. 2003, 02:00
Localisation : Au Kremlin-Bicêtre. Là où il fait bon passer ses vacances, comme le disait si bien Bourvil !!!

Re: L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Message par RV »

Aujourd'hui, nous allons passer en revue deux nouveaux titres de la collection :

« Hugh Corbett »

« Funestes présages » et « Le trésor de l'indomptable » ! :wink:
Attention : pseudo intellectuel
Avatar du membre
RV
Maître Jedi
Maître Jedi
Enregistré le : mer. 17 sept. 2003, 02:00
Localisation : Au Kremlin-Bicêtre. Là où il fait bon passer ses vacances, comme le disait si bien Bourvil !!!

Re: L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Message par RV »

Nouvelle aventure...

« Funestes présages »

En 4e de couverture :

Protégés par les hauts murs de l'abbaye et par la toute-puissance de l'abbé Stephen, un proche du roi Édouard Ier, les frères de Saint-Martin-des-Marais accordent peu de crédit aux funestes présages que l'on a coutume de prêter aux lieux où se situent leur monastère. Ainsi, les apparitions du fantôme de sir Geoffrey Mandeville, ce baron brigand galopant dans le bourbier marécageux du Lincolnshire avec sa suite de terrifiants cavaliers ; ou encore ces feux follets supposés annoncer aux hommes que leur mort est proche. Mais quand on retrouve l'abbé Stephen assassiné dans sa chambre, alors que porte et fenêtres sont fermées de l'intérieur, l'inquiétude s'installe...Inquiétude qui ne fait qu'augmenter avec l'arrivée de Sir Hugh Corbett, garde du Sceau privé du roi, appelé d'urgence pour enquêter...


Le prologue !

Praeparetur animus contra omnia

Prépare ton âme à l'inattendu. SÉNÈQUE

Des ombres, noires comme la poix, enveloppaient l'abbaye de St Martin-des-Maris, nichée dans les fens (1) du Lincolnshire. Un visiteur l'avait qualifiée de « joyau sur un coussin vert ». D'autres, qui avaient fait l'expérience des bourbiers marécageux, des traîtres chemins de traverse et des pièges cachés, disaient des fens que c'était un lieu maléfique. Un historien, jadis, avait parlé des marais trompeurs et des noues de cette région sauvage comme de « la sacristie de l' Enfer ». Bien entendu, l'abbaye de St Martin, fondée sous le règne d'Henri II, était un endroit consacré. Ses bâtiments, et les services divins qui s'y déroulaient, avaient repoussé en Enfer les démons censés rôder dans ce paysage désolé.

St Martin était devenue une puissante abbaye : ses moines avaient drainé les terres, créé prairies, pâtures, labours, pêcheries, viviers, construit à grand frais leur église, les greniers, les communs, l'infirmerie, le scriptorium et la bibliothèque. Les domaine de l'abbaye touchaient ceux de la famille Harcourt. Sir Eustace Harcourt avait fondé St Martin après être rentré sain et sauf d'un pèlerinage outre-mer où il avait, pour prier au Saint-Sépulcre, survécu tant à la chaleur qu'aux infidèles.

(1) Tourbières avec une végétation marécageuse.

La couverture :
Fichiers joints
funestes_presages1.jpg
Attention : pseudo intellectuel
Avatar du membre
RV
Maître Jedi
Maître Jedi
Enregistré le : mer. 17 sept. 2003, 02:00
Localisation : Au Kremlin-Bicêtre. Là où il fait bon passer ses vacances, comme le disait si bien Bourvil !!!

Re: L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Message par RV »

tout de suite :

« Le trésor de l'indomptable »

En 4e de couverture :

En 1303, Sir Hugh Corbet, émissaire du roi d'Angleterre, est dépêché à Cantorbéry afin de déchiffrer la Carte du Cloître, un ancien manuscrit censé décrire l'emplacement d'un fabuleux trésor enfoui dans le Suffolk.
Trois ans auparavant, cette carte avait été volée par le terrible pirate Adam Blackstock qui fut arrêté et pendu haut et court avec le reste de son équipage...Pourtant la carte demeurait introuvable ! Il fallut des années au marchand allemand Paulents pour la récupérer. Mais, dès son arrivée à Cantorbéry, il est assassiné, au cours d'une nuit funeste, avec toute sa famille. Au coeur d'"une affaire sanglante où plane le parfum d'une implacable vengeance, Corbett « le faucon » ne peut se fier à personne, mais il est le seul à pouvoir démasquer l'insaisissable tueur.

Prologue :

Timeo est summersus in undis

Je crains que les vagues noires déferlent sur lui (complainte médiévale)

Fête du transfert des cendres de saint Édouard le Confesseur, 12 octobre 1300

« Des horreurs de la mer et de ses monstres dévorants, Domine libera nos »
(« Seigneur délivre-nous ») était la prière habituelle de ceux qui, empruntant les voies maritimes, traversaient la Manche et la mer d'Irlande du bout de la Cornouailles jusqu'à l'endroit où les vagues s'écrasent comme des démons contre les dents acérées des rochers au large du cap Farnborough. Pourtant, nul monstre marin n'était plus redouté que la très haute cogghe ventrue, le trois-mâts l' Indomptable, avec sa proue saillante et son château proéminent à la poupe, ses plates-formes de combat et autre matériel de guerre. Les terreurs nées de la bourrasque nocturne, la furie des vents chevauchés par le diable, l'épouvante due à l'orage le plus sombre et à l'assaut effroyable des vagues pâlissaient face à la rapidité, la sauvagerie et le cruauté de l'Indomptable, sous les ordres de son maître Adam Blackstock, naguère résidant et bourgeois de la cité royale de Cantorbéry.

L' Indomptable portait bien son nom ; il apparaissait soudain, puis se fondait au loin, comme protégé dans les plis d'une brume malveillant, pour mieux réapparaître au large de l'Humber, de l'embouchure de la Tamise, ou pour venir rôder devant Pevensey ou l'un des cinq ports (1)
On traitait ses hommes d'équipage de démons incarnés et leur sinistre cogghe de navire de damnés.

Il y avait peu; l'Indomptable avait capturé, au large de Bordeaux, une nef chargée de vins, saisi sa précieuse cargaison et ses marchandises, puis coulé le bâtiment après avoir pendu son capitaine et noyé tous les survivants. Il s'en était même pris aux galères armées de la puissante Venise et, plus grave, aux massives cogghes des négociants allemands composant la formidable Hanse, qui possédait son propre bassin et ses quais dans sa concession de Steelyard, à Londres.

(1) Hastings, Sandwich, Douvres, Romney et Hythe assuraient la défense des côtes de la Manche

La couverture :
Fichiers joints
tresor_de_l'indomptable48.jpg
Attention : pseudo intellectuel
Avatar du membre
RV
Maître Jedi
Maître Jedi
Enregistré le : mer. 17 sept. 2003, 02:00
Localisation : Au Kremlin-Bicêtre. Là où il fait bon passer ses vacances, comme le disait si bien Bourvil !!!

Re: L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Message par RV »

Demain, je présenterai les deux derniers ouvrages de la série « Hugh Corbett » disponibles actuellement en langue française... :ange: :ange:
Attention : pseudo intellectuel
Avatar du membre
RV
Maître Jedi
Maître Jedi
Enregistré le : mer. 17 sept. 2003, 02:00
Localisation : Au Kremlin-Bicêtre. Là où il fait bon passer ses vacances, comme le disait si bien Bourvil !!!

Re: L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Message par RV »

« Le livre du magicien »

en 4e de couverture :

Aux premières neiges de 1303, une étrange réunion est organisée dans l'enceinte du château de Corfe, en Angleterre. Théologiens français et anglais, sous l'égide d'un éphémère traité de paix, sont chargés de briser ensemble le code du Secretus Secretorum, un vieux manuscrit rédigé par le frère Roger Bacon et porteur des espoirs les plus fous...Mais avant même qu'ils se mettent à la tâche, plusieurs jeunes femmes sont sauvagement assassinées aux abords de la forteresse. Chargé de veiller au bon déroulement de la réunion, Sir Hugh Corbett, le garde du Sceau privé d'Édouard Ier, décide d'éclaircir cette effrayante affaire...

le Prologue :

« S'étendent donc sous nos yeux les régions remarquables de l'Europe du Nord. »
Roger Bacon, Opus majus

Château royal de Poissy, fête de saint Barnabé, apôtre, juin 1303

Au château de Poissy, Philippe IV de France, surnommé « Le Bel », était agenouillé dans la petite chapelle royale donnant sur la fontaine de la cour. il aimait cet oratoire exigu, son ravissant dallage de losanges noirs et rouges, son prie-dieu de chêne rembourré, ses splendides tapisseries dépeignant les exploits de son célèbre prédécesseur, le Capétien Louis IX, devenu Saint Louis par la grâce de l'Église universelle. Philippe se tenait devant une statue de son glorieux ancêtre et, levant les yeux sur la sainte face, l'observait avec attention. Il faudrait qu'il s'entretienne avec le sculpteur. Il voulait que le visage de Louis ressemble au sien ; il n'y avait point là de blasphème : Philippe n'était-il pas l'un de ses descendants directs ? Le même sang sacré des Capétiens ne coulait-il pas dans leurs veines ?
Le roi était donc agenouillé, immobile. Malgré la chaleur, il portait sur les épaules une pelisse bleue brodée de fleurs de lis d'or. Ses cheveux blond cendré séparés au milieu par une raie, lui cachaient les oreilles.
Sa moustache et sa barbe, de la même couleur, étaient taillées avec soin.
Ses yeux bleu clair, dont maints de ses sujets redoutaient le regard, se posaient de ci-de-là, distraits par les flammes des innombrables lumignons et chandelles qui entouraient la statue. Le mémorial de saint Louis se dressait à gauche du maître-autel dans la chapelle construite selon les instructions précises de Philippe. C'était là que le souverain avait l'habitude de se retirer pour remercier dieu, qu'il considérait comme un pair, et pour parler à son saint ancêtre, qu'il estimait être son envoyé à la cour céleste.

La couverture :
Fichiers joints
le livre du magicien75.jpg
Attention : pseudo intellectuel
Avatar du membre
RV
Maître Jedi
Maître Jedi
Enregistré le : mer. 17 sept. 2003, 02:00
Localisation : Au Kremlin-Bicêtre. Là où il fait bon passer ses vacances, comme le disait si bien Bourvil !!!

Re: L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Message par RV »

Le petit dernier, sorti il y a peu de temps fnalement :

« Le porteur de mort »

En 4ede couverture :


Janvier 1304, Hugh Corbett traverse en toute hâte les faubourgs de Londres. Le roi l'a dépêché à Mistelham pour y remettre de l'ordre.
Et surtout récupérer auprès d'un ancien chevalier des croisades un objet inestimable : la Croix de Sanguinis Christi, convoitée par les Templiers. Mais lorsqu'il arrive en Essex, l'émissaire du roi fait face à une situation hors de contrôle ! Un mystérieux archer lance ses flèches empoisonnées au hasard sur les villageois, réveillant chez chacun, du gentilhomme au malandrin, les douloureuses plaies d'un passé noir comme les larmes du Christ...

le Prologue

« Des malfaiteurs et mutins ont, par la force des armes, fait irruption dans notre Trésor à l'abbaye de Westminster. »
Lettre d'Édouard Ier, 6 juin 1303.

- Corps bien nourri et complexion délicate ne sont que tuniques pour les vers et le feu de l' Enfer !

Gratian, un dominicain de l'ordre des Frères prêcheurs, sortit une main osseuse de la manche de son habit blanc et noir.
Il dressa un doigt, aussi mince et pointu qu'un passe-lacet, vers les cieux gris et bas, comme si les nuages chargés de neige allaient se déchirer pour révéler le Christ en gloire entouré d'anges brandissant des épées de feu, venus juger les habitants de Mistleham, dans le comté royal de l'Essex.

Certains citoyens de ce bourg reconnaissaient, avec sagesse, que ce jour du Jugement n'était que justice. Le meurtre et le chaos n'avaient-ils pas en effet trouvé refuge à Mistleham ? Coupante tel le sifflement de l'acier, la voix puissante du dominicain retentissait à travers la place du marché bordée par des demeures cossues, par la maison des échevins et la masse menaçante de St Alphege, l'Église paroissiale, aux tours carrées crénelées, à la brique grise et aux gargouilles grimaçantes. Sur les pavés glissants jonchés d'immondices, le roulement des charrettes, le martèlement des sabots ferrés et acérés des chevaux qui, frappant les pierres, en faisaient jaillir des étincelles, résonnaient ainsi qu'à l'ordinaire. D'un pas lent des paysans allaient d'un étal à l'autre. Pour faire du troc ou des emplettes. L'éloquence du prêcheur suscita néanmoins un inquiétant silence : même les baillis rassemblés autour du pilori où ils attendaient de s'emparer d'un groupe de malandrins cessèrent de crier et de jurer. Les rire gras, provoqués par le spectacle d'un homme adultère forcé de porter sur les épaules une catin qui, robe troussée, agitait ses jambes nues, s'éteignirent soudain. La voix du dominicain sonnait, aussi claire que la clochette de l'élévation.
L'air matinal et glacé servant de divine trompette d'argent à son porte-voix, le chapelain et confesseur particulier de Lord Scrope.

- Le corps est vil, puant et flétri, proclamait frère Gratian. Les plaisir de la chair, par nature empoisonnés et corrompus, attirent sur vous les innombrables malédictions de Dieu.
Les auditeurs du prêtre, toujours plus nombreux, hochèrent la tête en murmurant.

La couverture !
Fichiers joints
le-porteur-de-mort.jpg
Attention : pseudo intellectuel
Avatar du membre
RV
Maître Jedi
Maître Jedi
Enregistré le : mer. 17 sept. 2003, 02:00
Localisation : Au Kremlin-Bicêtre. Là où il fait bon passer ses vacances, comme le disait si bien Bourvil !!!

Re: L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Message par RV »

Ce titre, non encore traduit en français, paraitra, je l'espère très rapidement... :bedo: :pouce: :pouce:

la couverture « anglaise »
Fichiers joints
The mysterium-gf.jpg
Attention : pseudo intellectuel
Avatar du membre
RV
Maître Jedi
Maître Jedi
Enregistré le : mer. 17 sept. 2003, 02:00
Localisation : Au Kremlin-Bicêtre. Là où il fait bon passer ses vacances, comme le disait si bien Bourvil !!!

Re: L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Message par RV »

Toujours du même auteur, à partir de demain, je vous ferai découvrir une nouvelle série :

« Frère Athelstan » sous le pseudo Paul Harding, nous conte, les enquêtes de ce religieux, pas comme les autres...

10 titres à découvrir, tous réunis dans la collection « Grands détectives » chez 10-18

:pouce: :beer: :beer:
Attention : pseudo intellectuel
Avatar du membre
Mascopif
V.I.P.
V.I.P.
Enregistré le : ven. 11 juin 2010, 22:40
Localisation : TROYES, ici TROYES... deux minutes d'arrêt

Re: L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Message par Mascopif »

Merci RV de nous faire découvrir cet auteur.
Lequel semble assez marqué par "Le nom de la rose", non ?
Avait-il commencé à écrire ses romans historico-médievaux-policiers avant le roman d'Umberto ECO ?
“ Quand je vois ce que je vois et que j'entends ce que j'entends, je suis bien content de penser ce que je pense. ” (Fernand Raynaud)
Avatar du membre
RV
Maître Jedi
Maître Jedi
Enregistré le : mer. 17 sept. 2003, 02:00
Localisation : Au Kremlin-Bicêtre. Là où il fait bon passer ses vacances, comme le disait si bien Bourvil !!!

Re: L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Message par RV »

Mascopif a écrit :Merci RV de nous faire découvrir cet auteur.
Lequel semble assez marqué par "Le nom de la rose", non ?
Avait-il commencé à écrire ses romans historico-médievaux-policiers avant le roman d'Umberto ECO ?
Umberto Eco a 15 ans de plus que Paul Doherty l'un est né en 1932, l'autre en 1946.

« le nom de la rose » est sorti en 1980

le premier roman historique de Paul C. Doherty : « Satan à St Mary-le-Bow » (Satan In St. Mary's), en 1986

la différence d'âge peut expliquer des choses ? :sifl:

De toutes façons, la période médiévale française et anglaise est le domaine de prédilection de Paul Doherty, mais pas seulement en tant qu'écrivain.

En aucun, je ne saurais dire si le roman d'Umberto Eco a « influencé » Doherty

En résumé, je vous invite à au moins essayer un de ses romans et pourquoi pas en commençant par exemple par :
« Satan à St Mary-le-Bow », bien que, comme je l'ai déjà dit, l'ordre de lecture importe peu :beer: :bedo:
Attention : pseudo intellectuel
Avatar du membre
Mascopif
V.I.P.
V.I.P.
Enregistré le : ven. 11 juin 2010, 22:40
Localisation : TROYES, ici TROYES... deux minutes d'arrêt

Re: L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Message par Mascopif »

Merci RV de la précision. Qu'il ne soit pas l'inventeur du genre "enquête monacale" ne retire rien à la qualité de son écriture. En tout cas, tu nous donnes envie de nous y plonger.
:faim:
“ Quand je vois ce que je vois et que j'entends ce que j'entends, je suis bien content de penser ce que je pense. ” (Fernand Raynaud)
Avatar du membre
RV
Maître Jedi
Maître Jedi
Enregistré le : mer. 17 sept. 2003, 02:00
Localisation : Au Kremlin-Bicêtre. Là où il fait bon passer ses vacances, comme le disait si bien Bourvil !!!

Re: L'oeuvre de Paul C. Doherty...

Message par RV »

Mascopif a écrit :Merci RV de la précision. Qu'il ne soit pas l'inventeur du genre "enquête monacale" ne retire rien à la qualité de son écriture. En tout cas, tu nous donnes envie de nous y plonger.
:faim:
Si quelques-uns d'entre vous se mettent à la lecture des romans de Doherty, j'en serais le premier satisfait :ange: :ange: :ange:
Attention : pseudo intellectuel
Répondre

Retourner vers « Forum des Romans Populaires »