En outre, sans compter l'aspect émotionnel, les ayants-droit confortablement rémunérés ont à cœur de préserver la bonne image de l’œuvre de leur géniteur, en ne favorisant pas n'importe nawak adaptation de celle-ci.
Pour résumer, je pense que si Isabelle Franquin avait eu le pouvoir d'empêcher ce film, elle l'aurait fait.
Il est donc vain de broder sur son hypothétique action de promotion du film...
Et je rappelle que, si ma tante en avait, ce serait mon oncle.
Ça, c'est un procédé commun, de déclarer qu'on est fan absolu d'un série, pour prendre prétexte de faire n'importe quoi derrière.Lord Foxhole a écrit :Ce qui correspond assez bien à ce que l'on pouvait trouver dans un article publié récemment dans le quotidien Le Soir...Elle a toutefois pu avoir accès au scénario.
"Et sa première version était inqualifiable, pleine d’aberrations : Gaston y abandonnait son chat et sa mouette. Ou chauffait la start-up où il travaille en introduisant un tuyau d’arrosage dans le derrière d’une vache, raconte-t-elle. Là, j’ai dit 'niet'."
Dés le départ, Isabelle Franquin ne suivait pas la vision de Pierre-François Martin-Laval qui est - sans doute - fan de la série, mais n'est pas son auteur original.
Il suffit de voir les bouillies cinématographiques sensées être des adaptations de série franco-belges à succès pour se rendre compte qu'il y a du génie qui se perd en cours de route...
Tout est bon pour gagner de l'argent...