Ton hypothèse est invérifiable pour le moment (il faudrait tomber sur des courriers internes de l'époque), mais pourquoi pas, quand on sait la proximité de la collaboration entre les deux éditeurs (parfois co-éditeurs). Salomé n'est cependant pas le seul titre de Toray à avoir connu cette évolution. C'est le cas aussi de Torbellino, un autre titre sentimental. As-tu relevé des utilisations de cette série chez Artima (moi pas encore) ? Dans le cas contraire, ton hypothèse se trouve fragilisée.Database a écrit :Oui, mais tu n'es pas entré voir les stocks qui y sont restés !datadox a écrit :Les bureaux du 151, Dr Julian Alvarez à Buenos Aires sont malheureusement fermés depuis longtemps.
Ceci dit, on peut se demander pourquoi Toray a réduit ses histoires à 50 pages. En imagination débordante, se pourrait-il que ce soit à la demande d'Artima ... A cause des textes obligatoires ... Quand ils mettaient (Artima) deux revues de 64p dans un fascicule de 128p, il n'y avait plus de place pour les textes obligatoires ...
A ce moment, Toray aurait demandé aux deux auteurs de la première histoire d'en faire une petite aussi, laquelle ne serait pas vendue à la France ... D'où l'absence de crédit ...
En comparant les styles de dessin, peut-on réfuter cette hypothèse (trop différents ...). Sinon on pourrait demander à un M. Tebeosfera (j'ai une carte de visite quelque part) ...
Pour info, l'histoire du 210 fait aussi 50p ... et celle du 206 aussi (je vérifie en remontant) donc il faudra ajuster ...
Dans Salomé n°211 la deuxième histoire n'est pas de Rosa Galcerán. Je dois recevoir d'autres numéros tardifs, je verrai ce qu'il en est des autres histoires complémentaires. Le manque de crédits ne devait pas gêner l'éditeur pour les histoires courtes (c'est déjà un miracle qu'il les ait inclus pour les autres !).
L'histoire du n°200 fait 62 pages aussi. Le premier numéro avec histoire complémentaire doit donc être le n°201.