datadox a écrit : ↑mer. 02 janv. 2019, 18:42
arruziel a écrit : ↑mer. 02 janv. 2019, 18:40
ACV/ACU As de cœur
BCN/BTN Bataclan
Moi aussi je vais poser une question qui va peut être te paraître bête mais pourquoi y a-t-il deux code différent pour un même nom de série
j'aurai cru qu'on aurai eu qu'un seul code par série avec un numéros en cas ou il y aurai plusieurs version avec le même nom ?
Parce qu'il y a parfois eu deux séries du même titre.
Le mot "Parfois" est un peu faible.
Je vais comprendre la question un peu différemment :
Pourquoi n'ai-je pas toujours utilisé une notation en 1/2 quand il y avait deux séries.
Arruziel donne justement deux exemples appropriés.
La réponse tient à la gestion des codes à 3 caractères. Je rappelle qu'aujourd'hui, l'ISBN pour les BDs fait 13 chiffres. J'ai donc choisi d'utiliser un système dit alphanumérique (lettres, chiffres et quelques caractères spéciaux autorisés) pour attribuer un code UNIQUE à 3 positions seulement de façon à pouvoir le mémoriser quand on travaille sur une série spécifique. Dire CP2 est tout de même bien plus court que "Copacabana 2ème série) et encore, dans certaines références, il faudrait ajouter "Petit format" ...
En général, les majuscules et minuscules sont confondues par les systèmes (pas les Unix, c'est vrai), donc on dispose de 26 lettres, 10 chiffres et quelques extras donc ENVIRON '40 caractères'.
Sur 3 positions, 40x40x40 font 64.000 possibilités. Aujourd'hui, il y a environ 12.000 séries définies dans la Database (Mangas, BDs, etc). Donc encore de la marge, mais les lettres les plus courantes commencent à saturer. Par exemple, comment coder 17 séries Superman, et les Spider-Man, les semaines de Suzette, toutes avec du SU, du SM, etc.
Donc, dans certains cas, le codage s'éloigne de la logique immédiate, pour cause de saturation. Pour information, cette technique de codes à 3 caractères, j'ai dû la mettre en place vers 1985 ... il y a 33 ans ...
Après, il est toujours possible d'imaginer une approche différente, par exemple avoir un code à 3 caractères unique dans SA famille. Cela complique encore un peu et n'est pas encore nécessaire ... enfin, c'est ce que je crois ...
J'ai aussi évité ci-dessus d'entrer dans trop de considération de type informatique. Mais évidemment, puisqu'il s'agit de gestion de type "Base de Données relationnelles" (SGBD+R on dit), mes choix ont forcément été orientés pour s'adapter à un domaine que je connais un peu ...
Dans tous les cas, n'hésitez pas à poser des questions ...