Le n° 1 de Trio

[Grand-Sachem-la-Brocante]

Lecteur de Pif dans les années 1970, j'ai tout de suite été attiré en kiosque en mars 1976 par ce nouveau mensuel. Certes je connaissais déjà Le Journal des Pieds Nickelés et dans un moindre mesure, le Journal de Bibi Fricotin mais ils étaient à bout de souffle et mal distribué dans mon village du Tarn

J'y trouverais ( j'ai du mal avec le futur antérieur ) tout ce que j'aimais déjà dans Pif: des BD d'aventures : le western, la science-fiction, médiéval, policier, tarzanoïde, arts martiaux, et même des BD documentaires.

Les séries comiques ressemblent à toute la gamme de ce qui était proposé à l'époque: parodie, non-sens, gags domestiques, gags animaliers, aventures rocambolesques, comédies policières...

Les rubriques traitent de philatélie, des vedettes de la chanson et du sport, des jouets, de la mode, de l'actualité BD, etc.

On ne peut s'empêcher de penser que Trio visait le même lectorat que "Pif Gadget" : tout en récits complets avec des bd et des sujets pouvant toucher une vaste tranche d'âge, une alternance d'aventures et de comédies, quelques dessinateurs en commun (Marcello, Forton, Tranchand,...)

[Totoche]

Ouaip. Le support était de bonne qualité.

[Nasdine Hodja]

On ne peut s'empêcher de penser que Trio visait le même lectorat que "Pif Gadget" : tout en récits complets avec des bd et des sujets pouvant toucher une vaste tranche d'âge, une alternance d'aventures et de comédies, quelques dessinateurs en commun (Marcello, Forton, Tranchand,...)

Pour reprendre ton parallèle avec Pif, on peut penser que le poster ou les autocollants faisaient office de gadgets.

Trio c''était vraiment une des meilleures revues de l'époque.

À qui devait-on ce renouveau éditorial ? Raymond Maric ? Jean-Pierre Ventillard ?

[Leo, bete a part]

On ne peut s'empêcher de penser que Trio visait le même lectorat que "Pif Gadget" : tout en récits complets avec des bd et des sujets pouvant toucher une vaste tranche d'âge, une alternance d'aventures et de comédies, quelques dessinateurs en commun (Marcello, Forton, Tranchand,...)

Pour reprendre ton parallèle avec Pif, on peut penser que le poster ou les autocollants faisaient office de gadgets.

Trio c''était vraiment une des meilleures revues de l'époque.

À qui devait-on ce renouveau éditorial ? Raymond Maric ? Jean-Pierre Ventillard ?

Si tu penses que la réponse à ta question puisse se trouver à l'intérieur de ce numéro 1, alors je regarderais quand j'aurai 5mn; je me souviens l'avoir acheté en broc. il y a longtemps pour un prix ridicule.
Il doit etre quelque part ici dans un carton...

[Totoche]

T'as rien d'autre à faire, fainénant

[Tovenaar]

Jamais vu
Il n'était peut-être pas distribué en Belgique :

[Grand-Sachem-la-Brocante]

Pour reprendre ton parallèle avec Pif, on peut penser que le poster ou les autocollants faisaient office de gadgets.

Dans le Courrier des lecteurs, le rédacteur explique à un gamin qui demandait pourquoi il n'y avait pas de cadeau avec le journal, que ce n’était car c'etait une formule dépossée (Par vaillant sans doute) et effectivement il explique que les autocollants, les posters, étaient une forme de cadeau au lecteur.

Trio c''était vraiment une des meilleures revues de l'époque.

Ouaip, avec Pif tout de même, mais qui je me souviens bien était un peu en baisse à l'époque.

À qui devait-on ce renouveau éditorial ? Raymond Maric ? Jean-Pierre Ventillard ?

Raymond MARIC est Rédacteur en Chef, JP Ventillard, est PDG et Directeur de publication

Maric et Pellos :

[Jean-Louis]

À qui devait-on ce renouveau éditorial ? Raymond Maric ? Jean-Pierre Ventillard ?

Raymond MARIC est Rédacteur en Chef, JP Ventillard, est PDG et Directeur de publication

'Renouveau éditorial', pas tant que ça ; il suivait la ligne donnée auparavant par Pieds Nickelés Magazine (grand format).
La formule était la même pour ce qui est du contenu.

A noter pour les amateurs, que 'Trio' vit son nom modifié au fil de sa parution, en 'Trio Pieds Nickelés', puis en 'Pieds Nickelés Magazine' petit format.

Pour l'auteur de l'initiative, c'est l'histoire de l’œuf et de la poule ; Ventillard et Maric ont discuté ensemble de ce qu'ils comptaient faire, et ils sont tombés d'accord sur 'Trio'.
Après coup, c'est toujours difficile de définir la paternité d'une idée ; c'est souvent le résultat d'un processus collectif...

[Nasdine Hodja]

Trio reste le marqueur médian de ce renouveau. Mais c'est vrai qu'un bornage plus fin du phénomène (en amont et en aval du titre lui-même) serait intéressant à établir. Qui s'y colle ?

[Doc Mars]

On ne peut s'empêcher de penser que Trio visait le même lectorat que "Pif Gadget" : tout en récits complets avec des bd et des sujets pouvant toucher une vaste tranche d'âge, une alternance d'aventures et de comédies, quelques dessinateurs en commun (Marcello, Forton, Tranchand,...)

Pour reprendre ton parallèle avec Pif, on peut penser que le poster ou les autocollants faisaient office de gadgets.

Trio c''était vraiment une des meilleures revues de l'époque.

À qui devait-on ce renouveau éditorial ? Raymond Maric ? Jean-Pierre Ventillard ?

Ajouté 9 minutes 42 secondes après :

Editorial du Trio n°2

Baptême du journal dans Trio n°3

[drou]

Même si ce n'est pas paru dans le n° 1, vu dans le n° 2
cet article sur Pellos 1er dessinateur français a recevoir le grand prix de
la ville d’Angoulême.

[Fin Fang Foom]

L'Auberge du Clou est un très vieux restaurant de Paris. Je crois qu'il existe encore. Il est au 30 avenue Trudaine, 75009 Paris.

Ajouté 2 minutes 24 secondes après :

À qui devait-on ce renouveau éditorial ? Raymond Maric ? Jean-Pierre Ventillard ?

Normalement, c'est au rédacteur-en-chef, donc Raymond Maric.

En tout cas, merci pour la présentation et la création du sujet et les photos. Quelle nostalgie en voyant les anciens présentateurs de l'époque.

[datadox]

À qui devait-on ce renouveau éditorial ? Raymond Maric ? Jean-Pierre Ventillard ?

Normalement, c'est au rédacteur-en-chef, donc Raymond Maric.

Tout à fait. Trio est en réalité la prolongation de la nouvelle formule du Journal des Pieds Nickelés, lancée avec le n°84 lorsque Raymond Maric succède à Jacques Veissid au poste de rédacteur-en-chef. En plus de John Parade ou Jérémy, on y trouve déjà les fameuses fiches moto.