Blake et Mortimer
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Blek
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Re: Blake et Mortimer
Oui + de 2Kg ça devient compliqué à manipuler...
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PifouPocheAddict
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Re: Blake et Mortimer
C'est pratique pour aplatir d'autres BD qui sont gondolées ! 
Glop Glop la "Glopglopitude" ! 
... Pas Glop la "Pasglopitude" !!!
Ici ►>>>Ma liste de recherches ! <<<◄ iↄI
... Pas Glop la "Pasglopitude" !!!Ici ►>>>Ma liste de recherches ! <<<◄ iↄI
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Jean-Louis
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Re: Blake et Mortimer
Voici un lecteur avant d'avoir lu l'album :
Et puis, après avoir fini de le lire 
:
:- index.jpg (10.46 Kio) Vu 1403 fois
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Tovenaar
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Re: Blake et Mortimer
Les deux volumes en français (Espadon 1 → Sato 2) en noir et blanc et en grand format (chez Niffle) sont encore plus lourds.
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Jean-Louis
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CRISWEL
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Re: Blake et Mortimer
Jean Capart, né le 21 février 1877 à Bruxelles et mort le 16 juin 1947 à Etterbeek, a fait de Bruxelles, sa ville natale, la capitale européenne de l’égyptologie.
Il a inspiré le professeur Bergamotte (Tintin ) et le Dr Grossgrabenstein (Blake et Mortimer).
Dès l’enfance, Jean, forte tête et fort en tête, dévore tout ce qui s’écrit sur l’Égypte ancienne. Après un doctorat en droit, il étudie l’égyptologie dans diverses universités d’Europe où il tisse des liens d’amitié avec les plus grands savants de son temps, de l’Anglais William Flinders Petrie au Français Gaston Maspero.
En 1902 — il a alors 25 ans — l’Université de Liège lui confie la première chaire belge d’égyptologie. Enthousiaste et volubile, le jeune professeur double son «haut enseignement» de conférences destinées à tous. On le voit alors parcourir le monde, une valisette de clichés de projection à la main. Sa passion pour l’Égypte ancienne, et plus particulièrement pour l’art égyptien, on la retrouve intacte dans ses «causeries radiophoniques» qu’il donne des deux côtés de l’Atlantique, de même que dans les innombrables publications scientifiques ou de vulgarisation dont il est l’auteur ou l’éditeur.
En 1907, il initie les premières fouilles archéologiques belges en Égypte. Trente ans plus tard, il jette son dévolu sur Elkab, l’ancienne capitale religieuse de la Haute-Égypte dont il fait le lieu de prédilection des archéologues belges en Égypte. Mais c’est à Bruxelles, au Palais du Cinquantenaire, que se déroule l’essentiel de sa carrière entre 1897 et 1947. Il y relève tous les défis, à commencer par celui que constitue la direction conjointe des Musées Royaux d’Art et d’Histoire et de la Fondation Égyptologique Reine Élisabeth. Sous son impulsion, le Cinquantenaire prend sa physionomie actuelle et ses collections se développent considérablement. Organisateur de grandes rencontres internationales, il fait de Bruxelles, sa ville natale, la capitale européenne de l’égyptologie et de la papyrologie.
Et, comme si tout cela ne lui suffisait pas, il mène de front une carrière internationale : c’est à lui que les Américains font appel pour réorganiser la section égyptienne du Brooklyn Museum de New York; c’est lui que les Anglais nomment Honorary vice-President de l’Egypt Exploration Society de Londres et à qui les Danois confient la présidence de l’Association Internationale des Égyptologues.
Lorsqu’il décède en 1947, à l’âge de 70 ans, Jean Capart laisse derrière lui une épouse dévouée, une pyramide d’enfants et de petits-enfants, des amis et des disciples, des institutions florissantes et une œuvre scientifique et littéraire grandiose qui suscitera plus d’une vocation. Il est alors unanimement salué comme le fondateur de l’égyptologie en Belgique et comme l’un des plus grands historiens de l’art du 20e siècle. Texte du Fonds Jean Capart
Il a inspiré le professeur Bergamotte (Tintin ) et le Dr Grossgrabenstein (Blake et Mortimer).
Dès l’enfance, Jean, forte tête et fort en tête, dévore tout ce qui s’écrit sur l’Égypte ancienne. Après un doctorat en droit, il étudie l’égyptologie dans diverses universités d’Europe où il tisse des liens d’amitié avec les plus grands savants de son temps, de l’Anglais William Flinders Petrie au Français Gaston Maspero.
En 1902 — il a alors 25 ans — l’Université de Liège lui confie la première chaire belge d’égyptologie. Enthousiaste et volubile, le jeune professeur double son «haut enseignement» de conférences destinées à tous. On le voit alors parcourir le monde, une valisette de clichés de projection à la main. Sa passion pour l’Égypte ancienne, et plus particulièrement pour l’art égyptien, on la retrouve intacte dans ses «causeries radiophoniques» qu’il donne des deux côtés de l’Atlantique, de même que dans les innombrables publications scientifiques ou de vulgarisation dont il est l’auteur ou l’éditeur.
En 1907, il initie les premières fouilles archéologiques belges en Égypte. Trente ans plus tard, il jette son dévolu sur Elkab, l’ancienne capitale religieuse de la Haute-Égypte dont il fait le lieu de prédilection des archéologues belges en Égypte. Mais c’est à Bruxelles, au Palais du Cinquantenaire, que se déroule l’essentiel de sa carrière entre 1897 et 1947. Il y relève tous les défis, à commencer par celui que constitue la direction conjointe des Musées Royaux d’Art et d’Histoire et de la Fondation Égyptologique Reine Élisabeth. Sous son impulsion, le Cinquantenaire prend sa physionomie actuelle et ses collections se développent considérablement. Organisateur de grandes rencontres internationales, il fait de Bruxelles, sa ville natale, la capitale européenne de l’égyptologie et de la papyrologie.
Et, comme si tout cela ne lui suffisait pas, il mène de front une carrière internationale : c’est à lui que les Américains font appel pour réorganiser la section égyptienne du Brooklyn Museum de New York; c’est lui que les Anglais nomment Honorary vice-President de l’Egypt Exploration Society de Londres et à qui les Danois confient la présidence de l’Association Internationale des Égyptologues.
Lorsqu’il décède en 1947, à l’âge de 70 ans, Jean Capart laisse derrière lui une épouse dévouée, une pyramide d’enfants et de petits-enfants, des amis et des disciples, des institutions florissantes et une œuvre scientifique et littéraire grandiose qui suscitera plus d’une vocation. Il est alors unanimement salué comme le fondateur de l’égyptologie en Belgique et comme l’un des plus grands historiens de l’art du 20e siècle. Texte du Fonds Jean Capart
«Votre devoir est génial. Tous les autres m’ont parlé plus ou moins intelligemment, et plutôt moins que plus, du risque. Mais vous, vous avez risqué. Je dis bien que c’est une idée fantastique car si je n’avais pas tourné la page, Monsieur Laugier aurait eu zéro».
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Raymond
- V.I.P.
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- Localisation : Lausanne
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Re: Blake et Mortimer
Merci pour la présentation de ce modèle que je ne connaissais pas ! 
C'est un plus dans ma culture générale !
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Tovenaar
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nano
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Re: Blake et Mortimer
Affirmation qui repose sur quoi?CRISWEL a écrit : lun. 17 mai 2021, 10:20
Il a inspiré le professeur Bergamotte (Tintin ) et le Dr Grossgrabenstein (Blake et Mortimer).
La petite fiente universelle!!!!!!!!!!
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batless
- Maître Jedi
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Re: Blake et Mortimer
Ben quand tu te muscles tous les jours à lire des comics édités par Urban, tu es habitué
Recherche magazines Hara kiri.... Archie collection héritage "le mariage" tome 3-4-5-6-7-8-9.......Alien Vs Predator War tome 4
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Tovenaar
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CRISWEL
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Re: Blake et Mortimer
Voilà une réplique parue dans le journal de Tintin qui a échappé à la censure ... (humour involontaire de E.P Jacobs)
«Votre devoir est génial. Tous les autres m’ont parlé plus ou moins intelligemment, et plutôt moins que plus, du risque. Mais vous, vous avez risqué. Je dis bien que c’est une idée fantastique car si je n’avais pas tourné la page, Monsieur Laugier aurait eu zéro».
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Bob Morane
- Maître Jedi
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Re: Blake et Mortimer
Ils n'ont rien vu, et heureusement personne n'a été baver... 
« J'ai refait tous les calculs, ils confirment l'opinion des spécialistes : notre idée est irréalisable. Il ne nous reste qu'une seule chose à faire : la réaliser ! »
Pierre-Georges Latécoère
Pierre-Georges Latécoère
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CRISWEL
- Maître Jedi
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- Localisation : la Confrérîye dèl Târte al Djote
Re: Blake et Mortimer
Mais là, ça va encore... Il y en a des pires dans Ric Hochet. Bourdon fume la pipe et sa fille Nadine lui reproche... Bonjour les quiproquos !Bob Morane a écrit : ven. 30 juil. 2021, 15:04 Ils n'ont rien vu, et heureusement personne n'a été baver...
«Votre devoir est génial. Tous les autres m’ont parlé plus ou moins intelligemment, et plutôt moins que plus, du risque. Mais vous, vous avez risqué. Je dis bien que c’est une idée fantastique car si je n’avais pas tourné la page, Monsieur Laugier aurait eu zéro».
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Bob Morane
- Maître Jedi
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- Localisation : Albi (81)
Re: Blake et Mortimer
Un sous entendu volontaire pour emm...bêter la censure, ou juste une maladresse dans le texte ?
« J'ai refait tous les calculs, ils confirment l'opinion des spécialistes : notre idée est irréalisable. Il ne nous reste qu'une seule chose à faire : la réaliser ! »
Pierre-Georges Latécoère
Pierre-Georges Latécoère
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CRISWEL
- Maître Jedi
- Enregistré le : jeu. 05 mai 2005, 20:22
- Localisation : la Confrérîye dèl Târte al Djote
Re: Blake et Mortimer
Un petit bijou, qu'apprécieront tous les amateurs de Jacobs. L'ouvrage vient de reparaître ce mois-ci au format de poche (10 euros).
«Votre devoir est génial. Tous les autres m’ont parlé plus ou moins intelligemment, et plutôt moins que plus, du risque. Mais vous, vous avez risqué. Je dis bien que c’est une idée fantastique car si je n’avais pas tourné la page, Monsieur Laugier aurait eu zéro».
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Regulator
- Disciple
- Enregistré le : sam. 15 juin 2019, 14:00
Re: Blake et Mortimer
Je l'ai lu.
Très sympathique.
Le personnage est bien développé.
Seul bémol:l'auteur tire un peu sur la corde :
Très sympathique.
Le personnage est bien développé.
Seul bémol:l'auteur tire un peu sur la corde :
Je plais aux femmes
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Lord Foxhole
- Manitou
- Enregistré le : mer. 29 sept. 2010, 19:30
- Localisation : Hainaut (Belgique)
Re: Blake et Mortimer
Étant donné que Olrik est un personnage imaginaire, tu peux pratiquement inventer ce que tu veux....Regulator a écrit : sam. 31 juil. 2021, 23:00 Le personnage est bien développé.
Seul bémol:l'auteur tire un peu sur la corde :
S'il a été un agent secret d'élite travaillant pour les Nazis, on pourrait trouver logique qu'il ait rencontré l'Amiral Wilhelm Canaris, Heinrich Himmler ou même Hitler en personne.... ( j'en sais rien : j'ai pas lu le bouquin )
Je pense que Jacobs n'a jamais trop levé le voile sur le passé de son Méchant favori justement pour garder le mystère.... Et ne pas le cataloguer clairement comme " Nazi ", ce qui - au moment de sa création - était risqué.
Jacobs en a fait un personnage ambigu, sans scrupules mais également sans opinions politiques clairement marquées. C'est un mercenaire qui s'est vendu aux plus offrants, et peut retourner sa veste quand les choses se gâtent trop....
“La barbarie est l'état naturel de l'humanité, [...]. La civilisation n'est pas naturelle. Elle résulte simplement d'un concours de circonstances. Et la barbarie finira toujours par triompher.” ― Robert E. Howard.
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Regulator
- Disciple
- Enregistré le : sam. 15 juin 2019, 14:00
Re: Blake et Mortimer
Je suis bien d'accord mais je trouvais ça exagéré...
Après,ça n'engage que moi.
Après,ça n'engage que moi.
Je plais aux femmes
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Jean-Louis
- Maître Jedi
- Enregistré le : mer. 27 août 2003, 02:00
'Edgar P. Jacobs un pacte avec Blake et Mortimer', monographie
"Edgar P. Jacobs, un pacte avec Blake et Mortimer", réédition d'une précédente monographie de Jacobs, légèrement mise à jour, 400 pages. Il faut préciser que c'est plus une biographie qu'une monographie, car on y parle plus de sa vie du début à la fin que de son œuvre.
Le livre comporte un petit cahier central avec des photos et quelques crayonnés.
C'est un ouvrage très fouillé, qui permet de mieux comprendre le caractère de Jacobs et ses motivations.
Et ce qui est appréciable, c'est que ce ne sont pas des interprétations des auteurs, mais ce que l'on peut déduire soi-même à partir des faits décrits.
On y apprend notamment le rôle important de Jacques Van Melkebeke dans l'élaboration des œuvres respectives de Jacobs et de Hergé. Mais il a dû rester dans l'ombre, du fait des conséquences de ses imprudences de collaboration pendant la guerre, ce qui a permis à Hergé et Jacobs de garder la paternité exclusive sur leurs albums.
Il y est décrit aussi l'attitude intransigeante de Hergé, qui voulait absolument rester le premier, et a freiné l'édition et la promotion des albums de Jacobs, et qui, de par sa position chez la revue Tintin a rogné les ailes des jeunes loups qui pouvaient lui faire de l'ombre, tout en imposant aux auteurs un traitement BD réaliste de leurs séries (voir en particulier pour Vandersteen, mais aussi Jacobs).
Ma conclusion c'est que c'est un livre essentiel pour comprendre Jacobs et cette époque de la BD belge, et pourquoi son œuvre n'a pas eu sur le moment toute la reconnaissance 'commerciale' qu'elle aurait dû, bien que son impact artistique fut considérable.
Jacobs prend aujourd'hui sa revanche, avec la place très importante qu'il occupe à présent dans l'imaginaire bédéphile, tandis que Hergé lui, tend à s'estomper avec le temps...
http://bdzoom.com/169986/actualites/edg ... %e2%80%a6/
La précédente version :
Petite anecdote, Edgar P. Jacobs s'est servi de ses amis Jacques Van Melkebeke et Jacques Laudy comme modèles graphiques pour représenter respectivement Mortimer et Blake ; quant à lui, il s'est réservé Olrik, l'ennemi juré de ses héros, pour être son modèle.
Le livre comporte un petit cahier central avec des photos et quelques crayonnés.
C'est un ouvrage très fouillé, qui permet de mieux comprendre le caractère de Jacobs et ses motivations.
Et ce qui est appréciable, c'est que ce ne sont pas des interprétations des auteurs, mais ce que l'on peut déduire soi-même à partir des faits décrits.
On y apprend notamment le rôle important de Jacques Van Melkebeke dans l'élaboration des œuvres respectives de Jacobs et de Hergé. Mais il a dû rester dans l'ombre, du fait des conséquences de ses imprudences de collaboration pendant la guerre, ce qui a permis à Hergé et Jacobs de garder la paternité exclusive sur leurs albums.
Il y est décrit aussi l'attitude intransigeante de Hergé, qui voulait absolument rester le premier, et a freiné l'édition et la promotion des albums de Jacobs, et qui, de par sa position chez la revue Tintin a rogné les ailes des jeunes loups qui pouvaient lui faire de l'ombre, tout en imposant aux auteurs un traitement BD réaliste de leurs séries (voir en particulier pour Vandersteen, mais aussi Jacobs).
Ma conclusion c'est que c'est un livre essentiel pour comprendre Jacobs et cette époque de la BD belge, et pourquoi son œuvre n'a pas eu sur le moment toute la reconnaissance 'commerciale' qu'elle aurait dû, bien que son impact artistique fut considérable.
Jacobs prend aujourd'hui sa revanche, avec la place très importante qu'il occupe à présent dans l'imaginaire bédéphile, tandis que Hergé lui, tend à s'estomper avec le temps...
http://bdzoom.com/169986/actualites/edg ... %e2%80%a6/
La précédente version :
Petite anecdote, Edgar P. Jacobs s'est servi de ses amis Jacques Van Melkebeke et Jacques Laudy comme modèles graphiques pour représenter respectivement Mortimer et Blake ; quant à lui, il s'est réservé Olrik, l'ennemi juré de ses héros, pour être son modèle.
Modifié en dernier par Jean-Louis le dim. 24 oct. 2021, 14:50, modifié 2 fois.