CASTOR JUNIOR / CASTORS JUNIORS / CASTORS JUNIORS MAGAZINE 0 à 37 avec le n°5.

Voici une nouvelle information. Elle n'éclaire pas directement le problème qui nous intéresse, mais elle confirme que le fait de sauter certains numéros pouvait être une pratique éditoriale.datadox a écrit :Oui, je vois ce que tu veux dire. De là, deux hypothèses :Prokov a écrit :Pourquoi ne parler que des 4 et 5 ?datadox a écrit : Oui, il me semble, mais je ne retrouve plus le lien vers le message en particulier. Il me semble que les 4 et 5 ne sont parus qu'en langue flamande et n'ont pas d'équivalent en français.
Interpresse, société belge, numérotait ses titres à l'année.
Par exemple, pour Superman, 1966-12 puis 1967-1 ...
Pourquoi donc supposer que c'était différent entre 1965 et 1966 ?
Je pencherais donc plutôt pour des numéros fantômes de 1966-1 à 1966-5 ...
Rappelons que les numéros connus de 1966 vont de 1966-6 à 1966-12, les numéros 6 à 12 correspondant aux mois.
Si l'on remarque que pour 1965, le numéro 1965-1 correspond à octobre, on peut penser que les numéros étaient attribués en fonction du premier paru ...
et non en fonction du mois ...
Si donc en 1966 le premier numéro connu est le 1966-6 en juin, c'est que le 1966-1 est paru en janvier ...
[évidemment ici, on expecte, on expecte puisque personne ne trouve rien ...]
- soit l'éditeur a effectivement publié 12 numéros sur l'année 1966 après les 3 premiers de fin 1965 (dont le dernier annonce au prochain numéro une histoire qui n'est pas celle du n°6 de 1966)
- soit il n'a publié que les numéros 6 à 12 actuellement connus, suite à une interruption qui reste à expliquer, et en adoptant une numérotation basée sur le mois de parution (même si la mention "N°" apparaît bien, voir photo ci-dessous).
Dans Back-Up n°5, j'avais publié une lettre de Louis Cance qui écrivait : "J'ai eu la chance à l'époque, grâce à un ami belge, d'acheter régulièrement les numéros parus chez Interpresse S.A. (vendus uniquement en Belgique)." il cite les 3 parus en 1965, puis dit "les 4 et 5 semblent n'être jamais parus", se fiant effectivement plus à une numérotation en continu qu'à une numérotation au mois. Mais si Louis Cance, qui se les procurait à parution, n'a pas vu passer les 4 et 5 de 1966 (et a fortiori les 1 à 3 de 1966), on peut se demander s'ils existent, ou si son correspondant belge n'a pas pu se les procurer.