Prof TNJ a écrit : dim. 12 nov. 2006, 00:45
Les premières BD [de Bob Morane], celles dessinées par Dino Attanasio, ont précédé les romans.
Cérémonie très touchante ce samedi matin à Jette pour les 99 ans de Dino Attanasio.
Il faut que je me plonge dans sa biographie par Wilfried Salomé.
«Votre devoir est génial. Tous les autres m’ont parlé plus ou moins intelligemment, et plutôt moins que plus, du risque. Mais vous, vous avez risqué. Je dis bien que c’est une idée fantastique car si je n’avais pas tourné la page, Monsieur Laugier aurait eu zéro».
Dans la biographie de Dino Attanasio, l'auteur parle t'il de la BD "Le Soleil des damnés" de Ed Engil et Dino Attanasio aux Éditions Michel Deligne, qui est restée sans suite sans raison apparente.
L'action se passe en Belgique, à Bruxelles dans le milieu des bouquinistes, dans une librairie de BD anciennes dénommée Curiosity House place Saint-Josse. Trois amis, Mike, Vic et Gustave, sont entraînés dans une folle remontée a l'époque du IIIe Reich. La promesse de trouver dans un château situé à la frontière belge, dans les Ardennes, des albums de Tintin chez les soviets, des collections complètes de Bimbo, Wrill, Bravo, attise leur curiosité qui les pousse à pénétrer dans une pièce où ils font une funeste découverte. Les ennuis commencent alors...
Tortures, expériences humaines, dissections sont pratiquées dans les souterrains du château par des nazis. L'ombre du docteur Joseph Mengele plane dans chaque recoin...
Bonne question ! En fait, je ne l'ai pas encore lu... C'est pour ça que je n'en avais pas fait de sujet dédié...
«Votre devoir est génial. Tous les autres m’ont parlé plus ou moins intelligemment, et plutôt moins que plus, du risque. Mais vous, vous avez risqué. Je dis bien que c’est une idée fantastique car si je n’avais pas tourné la page, Monsieur Laugier aurait eu zéro».
«Votre devoir est génial. Tous les autres m’ont parlé plus ou moins intelligemment, et plutôt moins que plus, du risque. Mais vous, vous avez risqué. Je dis bien que c’est une idée fantastique car si je n’avais pas tourné la page, Monsieur Laugier aurait eu zéro».