Les Intégrales Panini : les critiques
- Fred le Mallrat
- Acharné(e)
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Howard dans cette version est un personnage a part qui ne correspond pas aux autres personnages anthropomorphiques.
Vraiment une série à part, si vous avez l'occasion de la lire d'occasion ou dans une mediathèque, jetez-y un coup d'oeil.
Je parle bien de la série Howard (donc pas les bouts de man-thing qui sont à part et que par Steve gerber).
Graphiquement ensuite il y a le mag noir et blanc qui suivra j'espère en intégrale quand les masterworks sortiront où on a du Colan et du Michaël Golden maginifique.
Apres on a tous nos gouts. Moi je suis pas trés fan de Gerry Conway ou Len Wein par exemple en général. Je le lis mais je trouve qu en général ce sont des periodes assez banales des séries sur lesquelles ils ont officiés, qui répètent pas mal le schéma stan Lee qui n'est pas mon préféré. Pareil dans Spiderwoman, le passage de claremont est celui que j'aime le moins.. trop "normal", ca devient un personnage comme les autres comme sa viper qui n'est pas celle qu'on voit dans les séries Avengers ou Fury.
Mon Marvel favori c'est celui des 70's/80's avec les scenarios de Steve Gerber, Steve Englehart, Jim Starlin, Doug Moench, Don McGregor, J.M. Dematteis, John Byrne, Walt Simonson, Jim Steranko, Frank Miller, Roger Stern, Roger McKenzie..
Dans les 60's j'aime quand Kirby et Ditko prennent le dessus sur Stan Lee. En général je trouve que Stan Lee se bloque dans des schémas avec le triangle amoureux, l identité secrète, la faiblesse du héros qui revient sans cesse..
Vraiment une série à part, si vous avez l'occasion de la lire d'occasion ou dans une mediathèque, jetez-y un coup d'oeil.
Je parle bien de la série Howard (donc pas les bouts de man-thing qui sont à part et que par Steve gerber).
Graphiquement ensuite il y a le mag noir et blanc qui suivra j'espère en intégrale quand les masterworks sortiront où on a du Colan et du Michaël Golden maginifique.
Apres on a tous nos gouts. Moi je suis pas trés fan de Gerry Conway ou Len Wein par exemple en général. Je le lis mais je trouve qu en général ce sont des periodes assez banales des séries sur lesquelles ils ont officiés, qui répètent pas mal le schéma stan Lee qui n'est pas mon préféré. Pareil dans Spiderwoman, le passage de claremont est celui que j'aime le moins.. trop "normal", ca devient un personnage comme les autres comme sa viper qui n'est pas celle qu'on voit dans les séries Avengers ou Fury.
Mon Marvel favori c'est celui des 70's/80's avec les scenarios de Steve Gerber, Steve Englehart, Jim Starlin, Doug Moench, Don McGregor, J.M. Dematteis, John Byrne, Walt Simonson, Jim Steranko, Frank Miller, Roger Stern, Roger McKenzie..
Dans les 60's j'aime quand Kirby et Ditko prennent le dessus sur Stan Lee. En général je trouve que Stan Lee se bloque dans des schémas avec le triangle amoureux, l identité secrète, la faiblesse du héros qui revient sans cesse..
- Gradatio
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Howard, J'en ai lu quelques uns et survolé les autres. Ce n'est simplement pas mon truc.
Tu as raison, c'est une affaire de goût et c'est très bien que l'on soit tous différents, sinon, ce serait triste.
J'aime Conway et Wein car c'est de la pure madeleine. Mon âge d'or des comics, ceux lu entre 1973 et 1983.
Après, c'est différent, je reconnais que Simonson propose des choses plus qu'intéressantes, je ne suis pas un grand fan de Miller, ni de Moench que je trouve très inconstant.
Je partage ton avis sur Kirby et Ditko bien que je sois moins amateur du second. Il est aujourd'hui prouvé que c'était les vrais créateurs de l'époque
Tu as raison, c'est une affaire de goût et c'est très bien que l'on soit tous différents, sinon, ce serait triste.
J'aime Conway et Wein car c'est de la pure madeleine. Mon âge d'or des comics, ceux lu entre 1973 et 1983.
Après, c'est différent, je reconnais que Simonson propose des choses plus qu'intéressantes, je ne suis pas un grand fan de Miller, ni de Moench que je trouve très inconstant.
Je partage ton avis sur Kirby et Ditko bien que je sois moins amateur du second. Il est aujourd'hui prouvé que c'était les vrais créateurs de l'époque
Tu n'es plus là où tu étais mais tu es partout là où je suis.
- Fred le Mallrat
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Oui Moench est inconstant sur la fin de sa carriere chez Marvel.
Alors Conway et Wein c est aussi des madeleines.
J ai commencé avec eux et Stan Lee ou Bill Mantlo sur spidey, FF, Thor, Iron Man.
Je le dis je crois sur mes critiques des intégrales Thor. Simplement ils m'ont pas autant marqué que d'autres dans ma jeunesse. Ils m'auront accroché mais j'aurais vite lu des auteurs qui me plairont plus.
Alors Conway et Wein c est aussi des madeleines.
J ai commencé avec eux et Stan Lee ou Bill Mantlo sur spidey, FF, Thor, Iron Man.
Je le dis je crois sur mes critiques des intégrales Thor. Simplement ils m'ont pas autant marqué que d'autres dans ma jeunesse. Ils m'auront accroché mais j'aurais vite lu des auteurs qui me plairont plus.
- reedff
- Maître Jedi
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Vous oubliez Marv Wolfman , pour moi il forme un trio de rêve avec Wein et Conway.
Après on a David Michelinie et Roger Stern . Et en pôle position Roy Thomas, l'héritier de Stan Lee et John Byrne, l'héritier de Kirby.
J'en oublie et des meilleurs.
Après on a Bill Mantlo et Mark Gruenwald (rajout)
Après on a David Michelinie et Roger Stern . Et en pôle position Roy Thomas, l'héritier de Stan Lee et John Byrne, l'héritier de Kirby.
J'en oublie et des meilleurs.
Après on a Bill Mantlo et Mark Gruenwald (rajout)

mes recherches https://www.forumpimpf.net/viewtopic.ph ... 8#p1034138
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Oui, tu as raison. La discussion tournait autour des deux dont on a parlé mais les autres sont aussi incontournables. Je rajoute Claremont pour son énorme run sur les X-Men même si c'est inégal, sa longévité force le respect.
Roy Thomas pour moi est l'un des (si ce n'est le) meilleurs. Je sais que certains sont allergiques à son style érudit.
Roy Thomas pour moi est l'un des (si ce n'est le) meilleurs. Je sais que certains sont allergiques à son style érudit.
Tu n'es plus là où tu étais mais tu es partout là où je suis.
- reedff
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Je suis d'accord avec toi pour Roy Thomas, il a pérennisé Marvel en prenant la relève de Lee, en améliorant les intrigues apportant de nouveaux concepts et de nouvelles séries hors super-héros comme Conan. Oui Thomas est peut être le meilleur de la relève post 60.
Claremont restera l'homme des Mutants en contribuant à l'interaction entre les séries et en hissant les X-men au top des ventes même après le départ de Byrne.
Claremont restera l'homme des Mutants en contribuant à l'interaction entre les séries et en hissant les X-men au top des ventes même après le départ de Byrne.
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- Fred le Mallrat
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Je n'oublie personne (a part Thomas mais je parlais aprés les 60's qui pour moi est vraiment ultra important).
Wolfman et Michelinie ou Claremont avec Gruenwald et Mantlo c 'est juste une division en dessous de ceux que j ai cité (là où Thomas et Neal Adams d ailleurs qui participe) je les joins à ma première division.
Wolfman et Michelinie ou Claremont avec Gruenwald et Mantlo c 'est juste une division en dessous de ceux que j ai cité (là où Thomas et Neal Adams d ailleurs qui participe) je les joins à ma première division.
- mario
- Grand Maître
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Vous êtes balèzes, les gars !
Perso, ce sont les dessinateurs qui m’ont marqué. Les scénaristes, je les confonds tous ou presque.
A ma décharge, je ne relis pas les Intégrales.
Il faudrait faire un tableau chronologique avec les boulots des scénaristes sur leurs différentes séries.
Perso, ce sont les dessinateurs qui m’ont marqué. Les scénaristes, je les confonds tous ou presque.
A ma décharge, je ne relis pas les Intégrales.
Il faudrait faire un tableau chronologique avec les boulots des scénaristes sur leurs différentes séries.
- reedff
- Maître Jedi
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Je trouve qu'on parle plus des dessinateurs que des scénaristes, c'était l'occasion de leur rendre hommage.mario a écrit : mar. 04 mars 2025, 18:32 Vous êtes balèzes, les gars !
Perso, ce sont les dessinateurs qui m’ont marqué. Les scénaristes, je les confonds tous ou presque.
A ma décharge, je ne relis pas les Intégrales.
Il faudrait faire un tableau chronologique avec les boulots des scénaristes sur leurs différentes séries.
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
J'ai du mal à parler en terme de divisions car chacun d'entre eux a eu ses temps forts et ses temps plus faibles.
Juste un exemple
Roy Thomas est le must sur Conan mais son second run sur Thor est beaucoup moins inspiré que son premier passage sur le personnage.
Juste un exemple
Roy Thomas est le must sur Conan mais son second run sur Thor est beaucoup moins inspiré que son premier passage sur le personnage.
Tu n'es plus là où tu étais mais tu es partout là où je suis.
-
- Habitué(e)
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
CAPTAIN AMERICA 1972
Episodes de Captain America de 145 à 156 VO
Année importante pour Captain America. Les changements sont nombreux. D’abord aux scénarios. Stan Lee, après avoir quitté la série en 1971 revient pour un numéro. Gary Freidrich prend le relais à nouveau provisoirement avant que Gerry Conway intervienne sur quatre numéros. Enfin Steve Englehart débarque et reste jusqu’à la fin de l’année 1975. Au dessin John Romita Sr est remplacé par Gil Kane pour le premier numéro et ensuite Sal Buscema arrive sur la série pour son premier run qui durera jusqu’en début de l’année 1975.
Au niveau encrage, nous avons John Romita Sr sur le premier numéro. Puis John Verpoorte, Vince Colleta, Jim Mooney, Frank Giacoia et Frank McLaughlin se succèdent.
Au niveau de la série il y a aussi beaucoup d’action. Le super héros prend toujours l’ascendant sur Steve Rodgers. Ainsi Steve Rogers le civil et policier, pourtant infiltré, est pratiquement aux abonnés absents. Les tensions avec Sharon Carter se réduisent considérablement (pour un certain temps au moins) dans la mesure où celle ci finit par démissionner du S.H.I.E.L.D. comme Cap lui avait demandé.
Cela permet ainsi à Steve Rogers de faire un peu plus son apparition dans les derniers numéros et de le voir enfin en tant que personne dans son intimité et non plus seulement qu’en tant que héros à temps plein même si cela reste marginal.
Les tensions entre le Cap et Nick Fury ne s’arrangent pas du tout. Le refus de Cap de rejoindre le S.H.I.E.L.D. n’est bien sûr qu’un prétexte. En réalité la comtesse Valentina est à l’origine de ces tension. Amoureuse de Nick Fury elle flirte avec Cap pour rendre Fury jaloux et cela marche.
Cap et Fury en viennent même aux mains pour s’expliquer.
Nous ne sommes toutefois pas dans la cadre du fameux triangle amoureux (thème cher à Stan Lee) puisque Cap n’a toujours d’yeux que pour Sharon. Quoi qu’il en soit au final Cap n’est plus le bienvenu au S.H.I.E.L.D.
De son côté le Faucon est plus que jamais décidé à défendre en priorité les intérêts de son quartier d’Harlem même si cela veut dire laisser Cap de côté. La encore il y à quelques tensions. Cap a tendance à venir chercher Sam pour que le Falcon l’aide mais Sam n’est pas d’accord. Le changement de costume à la fin de l’année 1971 est aussi censé affirmer l’indépendance du Faucon par rapport à Cap.
Ceci étant, la force des choses fait que les deux comparses se retrouvent malgré tout ensemble.
Dans l’épisode avec Baltroc et l’étranger ils poursuivent chacun leur propre piste qui les conduisent pourtant au même endroit.
Ensuite lors de l’arc du cap et Bucky des années 50, Sam Wilson ne peut s’empêcher de partir à Miami en Floride pour aider Cap contre son double diabolique. Il faut admettre également que le tandem avait semer le trouble dans Harlem pour commencer.
En terme d’histoire il y à du bon.
L’intégrale commence par un arc contre les hommes d’Hydra. Cela nous donne l’occasion de retrouver le Caïd, son fils et sa ravissante épouse Vanessa. C’est d’ailleurs la première apparition de ces trois personnages depuis les épisodes de Spider man avec le comploteur en 1970. La surprise de cet arc (mais est ce vraiment une surprise?) est le retour de Crâne Rouge qui, comme à son accoutumée, orchestre tout dans l’ombre. Il revient avec son androïde «le cinquième sleeper».
Ensuite nous avons deux épisodes avec Baltroc et l’étranger. Des épisodes assez surprenant pour cette série mais loin d’être désagréable pour autant.
Après Captain America et le faucon ont fort à faire contre le scorpion et mister Hyde (une association aussi surprenante qu’improbable).
Enfin l’album se finit avec un arc superbe contre le Captain America et le Bucky des années 50 (que l’on retrouve ensuite en 1979-1980 en tant que «grand directeur» avec la force nationale et on apprend qu’il se nomme en réalité William Burnside en 2010) .
Steve Englehart signe ici son premier coup d’éclat sur la série (et cela ne sera pas le dernier surtout avec l’empire secret en 1974).
Après la fin de la seconde guerre mondiale, la série originale de Captain América s’essouffle malgré des efforts de Timely (futur Atlas/Marvel) pour poursuivre la série. En pure perte et la série s’arrête finalement en 1949.
Ensuite dans les années 50 Atlas (futur Marvel) tente de relancer le personnage dans une série «Young men».
La série est réalisée par Stan Lee et John Romita Sr. Le personnage est, toutefois, différent. Captain América et Bucky se battent surtout contre les adversaires communistes dont un crâne rouge communiste (références trouvées sur Wikipédia mais aussi dans l’intégrale 1972 puisqu’il y à un extrait tiré de Young men sur leurs origines).
C’est en 1953 en pleine période du MacCarthysme aux Etats-Unis. Cette série ne marche pas du tout et s’arrête rapidement au bout de quelques numéros. On retrouve toutefois le personnage, au cours d’une nouvelle tentative pour relancer Captain, dans «Men’s adventures» et «Captain America comics» en 1954 (références Wikipédia).
En 1964, dix ans plus tard, lorsque Stan Lee et Jack Kirbry relancent le personnage, on peut supposer qu’ils ont oublié la série des années 50 puisque la disparition de Cap est expliquée par une hibernation dans la glace depuis la fin de la guerre en 1945 ce qui est incohérent avec l’histoire du cap des années 50.
C’est dans ce contexte que Englehart reprend ce personnage dans la série.
L’idée de celui-ci est multiple. Englehart cherche, bien sûr, à faire la transition entre le Captain América original et le Captain América des années 50 pour avoir une continuité et une cohérence dans l’histoire globale.
C’est aussi l’occasion de mettre en avant la différence entre les deux antagonistes. C’est super intéressant. Le Cap et Bucky des années 50 sont censés remplacer le tandem original pour défendre les Etats-Unis à cette époque. Malheureusement la formule étant incomplète ils deviennent fou. Englehart mets donc face à face Captain America face à son côté le plus sombre possible. Les deux sont en total opposition. La où Captain America (Steve Rogers) se bat pour défendre la justice, les inégalités et le fanatisme sous toute ses formes quelle que soit l’époque, le double reste, lui, sur une vision ultra nationaliste et ultra radicale. La personnification du MacCarthysme. Un pseudo héros dont la chasse aux sorcières contre l’ennemi communiste devient finalement une chasse aux sorcières généralisée. Cette dernière est basée sur des critères complètement subjectifs et plus liée à ses propres peurs, angoisses et préjugés plutôt qu’à des valeurs humaines basées sur la liberté et l’égalité des droits.
Avec cette opposition de style et d’idéologie, Englehart replace le Captain la où il est le meilleur : combattre les ennemis de la démocratie et nous rappelle également que les ennemis peuvent être tout autant extérieur à la nation qu’à l’intérieur même. Englehart en fera la parfaite démonstration une fois de plus en 1974 lors de l’arc avec l’Empire secret.
Pour ce premier album sans les grands noms que l’on avait jusqu’alors (Stan Lee, Romita Sr, Kirby, Colan) celui ci est une réussite.
Les intrigues sont pas mal et intéressantes même si quelques épisodes semblent un peu en décalage.
Sal Buscema nous fait la démonstration de tout son talent. Malgré des changements d’encreurs les dessins de Sal ne souffrent pas trop.
L’arc des imposteurs est juste excellent. Il fait non seulement le lien avec l’histoire passée du personnage permettant de relier les deux cap mais offre aussi de nombreuses perspectives pour les artistes à venir sur la série. Ce que ne manquera pas de faire Roger McKenzie en 1979 en reprenant le personnage pour en faire le grand directeur du mouvement extrémiste «la force nationale».
Globalement 1972 fait partie des meilleures années de Cap dans les années 70.
Note :8,75/10
Point positif : L’arc du cap des années 50 est fabuleux. Un de mes arcs préféré avec l’empire secret (sachant que pour le moment j’en suis en 1977-1979 et je n’ai pas encore lu l’arc sur la force nationale). La présence du Caïd est rafraîchissante pour la série. Le cinquième slepper et le diabolique Crâne Rouge.
Point négatif : Les deux épisodes avec Baltroc et l’étranger. Bien qu’intéressants ces épisodes à la dimension cosmique me semblent un peu hors sujet par rapport à la série.
J’ai aussi un peu de mal à adhérer à l’association Scorpion/Mister Hyde. Il me semble que les deux personnages ne sont pas fait pour travailler ensemble (après j’ai vu essentiellement Mister Hyde avec le Cobra dans DD donc je manque peut être d’objectivité).
Episodes de Captain America de 145 à 156 VO
Année importante pour Captain America. Les changements sont nombreux. D’abord aux scénarios. Stan Lee, après avoir quitté la série en 1971 revient pour un numéro. Gary Freidrich prend le relais à nouveau provisoirement avant que Gerry Conway intervienne sur quatre numéros. Enfin Steve Englehart débarque et reste jusqu’à la fin de l’année 1975. Au dessin John Romita Sr est remplacé par Gil Kane pour le premier numéro et ensuite Sal Buscema arrive sur la série pour son premier run qui durera jusqu’en début de l’année 1975.
Au niveau encrage, nous avons John Romita Sr sur le premier numéro. Puis John Verpoorte, Vince Colleta, Jim Mooney, Frank Giacoia et Frank McLaughlin se succèdent.
Au niveau de la série il y a aussi beaucoup d’action. Le super héros prend toujours l’ascendant sur Steve Rodgers. Ainsi Steve Rogers le civil et policier, pourtant infiltré, est pratiquement aux abonnés absents. Les tensions avec Sharon Carter se réduisent considérablement (pour un certain temps au moins) dans la mesure où celle ci finit par démissionner du S.H.I.E.L.D. comme Cap lui avait demandé.
Cela permet ainsi à Steve Rogers de faire un peu plus son apparition dans les derniers numéros et de le voir enfin en tant que personne dans son intimité et non plus seulement qu’en tant que héros à temps plein même si cela reste marginal.
Les tensions entre le Cap et Nick Fury ne s’arrangent pas du tout. Le refus de Cap de rejoindre le S.H.I.E.L.D. n’est bien sûr qu’un prétexte. En réalité la comtesse Valentina est à l’origine de ces tension. Amoureuse de Nick Fury elle flirte avec Cap pour rendre Fury jaloux et cela marche.
Cap et Fury en viennent même aux mains pour s’expliquer.
Nous ne sommes toutefois pas dans la cadre du fameux triangle amoureux (thème cher à Stan Lee) puisque Cap n’a toujours d’yeux que pour Sharon. Quoi qu’il en soit au final Cap n’est plus le bienvenu au S.H.I.E.L.D.
De son côté le Faucon est plus que jamais décidé à défendre en priorité les intérêts de son quartier d’Harlem même si cela veut dire laisser Cap de côté. La encore il y à quelques tensions. Cap a tendance à venir chercher Sam pour que le Falcon l’aide mais Sam n’est pas d’accord. Le changement de costume à la fin de l’année 1971 est aussi censé affirmer l’indépendance du Faucon par rapport à Cap.
Ceci étant, la force des choses fait que les deux comparses se retrouvent malgré tout ensemble.
Dans l’épisode avec Baltroc et l’étranger ils poursuivent chacun leur propre piste qui les conduisent pourtant au même endroit.
Ensuite lors de l’arc du cap et Bucky des années 50, Sam Wilson ne peut s’empêcher de partir à Miami en Floride pour aider Cap contre son double diabolique. Il faut admettre également que le tandem avait semer le trouble dans Harlem pour commencer.
En terme d’histoire il y à du bon.
L’intégrale commence par un arc contre les hommes d’Hydra. Cela nous donne l’occasion de retrouver le Caïd, son fils et sa ravissante épouse Vanessa. C’est d’ailleurs la première apparition de ces trois personnages depuis les épisodes de Spider man avec le comploteur en 1970. La surprise de cet arc (mais est ce vraiment une surprise?) est le retour de Crâne Rouge qui, comme à son accoutumée, orchestre tout dans l’ombre. Il revient avec son androïde «le cinquième sleeper».
Ensuite nous avons deux épisodes avec Baltroc et l’étranger. Des épisodes assez surprenant pour cette série mais loin d’être désagréable pour autant.
Après Captain America et le faucon ont fort à faire contre le scorpion et mister Hyde (une association aussi surprenante qu’improbable).
Enfin l’album se finit avec un arc superbe contre le Captain America et le Bucky des années 50 (que l’on retrouve ensuite en 1979-1980 en tant que «grand directeur» avec la force nationale et on apprend qu’il se nomme en réalité William Burnside en 2010) .
Steve Englehart signe ici son premier coup d’éclat sur la série (et cela ne sera pas le dernier surtout avec l’empire secret en 1974).
Après la fin de la seconde guerre mondiale, la série originale de Captain América s’essouffle malgré des efforts de Timely (futur Atlas/Marvel) pour poursuivre la série. En pure perte et la série s’arrête finalement en 1949.
Ensuite dans les années 50 Atlas (futur Marvel) tente de relancer le personnage dans une série «Young men».
La série est réalisée par Stan Lee et John Romita Sr. Le personnage est, toutefois, différent. Captain América et Bucky se battent surtout contre les adversaires communistes dont un crâne rouge communiste (références trouvées sur Wikipédia mais aussi dans l’intégrale 1972 puisqu’il y à un extrait tiré de Young men sur leurs origines).
C’est en 1953 en pleine période du MacCarthysme aux Etats-Unis. Cette série ne marche pas du tout et s’arrête rapidement au bout de quelques numéros. On retrouve toutefois le personnage, au cours d’une nouvelle tentative pour relancer Captain, dans «Men’s adventures» et «Captain America comics» en 1954 (références Wikipédia).
En 1964, dix ans plus tard, lorsque Stan Lee et Jack Kirbry relancent le personnage, on peut supposer qu’ils ont oublié la série des années 50 puisque la disparition de Cap est expliquée par une hibernation dans la glace depuis la fin de la guerre en 1945 ce qui est incohérent avec l’histoire du cap des années 50.
C’est dans ce contexte que Englehart reprend ce personnage dans la série.
L’idée de celui-ci est multiple. Englehart cherche, bien sûr, à faire la transition entre le Captain América original et le Captain América des années 50 pour avoir une continuité et une cohérence dans l’histoire globale.
C’est aussi l’occasion de mettre en avant la différence entre les deux antagonistes. C’est super intéressant. Le Cap et Bucky des années 50 sont censés remplacer le tandem original pour défendre les Etats-Unis à cette époque. Malheureusement la formule étant incomplète ils deviennent fou. Englehart mets donc face à face Captain America face à son côté le plus sombre possible. Les deux sont en total opposition. La où Captain America (Steve Rogers) se bat pour défendre la justice, les inégalités et le fanatisme sous toute ses formes quelle que soit l’époque, le double reste, lui, sur une vision ultra nationaliste et ultra radicale. La personnification du MacCarthysme. Un pseudo héros dont la chasse aux sorcières contre l’ennemi communiste devient finalement une chasse aux sorcières généralisée. Cette dernière est basée sur des critères complètement subjectifs et plus liée à ses propres peurs, angoisses et préjugés plutôt qu’à des valeurs humaines basées sur la liberté et l’égalité des droits.
Avec cette opposition de style et d’idéologie, Englehart replace le Captain la où il est le meilleur : combattre les ennemis de la démocratie et nous rappelle également que les ennemis peuvent être tout autant extérieur à la nation qu’à l’intérieur même. Englehart en fera la parfaite démonstration une fois de plus en 1974 lors de l’arc avec l’Empire secret.
Pour ce premier album sans les grands noms que l’on avait jusqu’alors (Stan Lee, Romita Sr, Kirby, Colan) celui ci est une réussite.
Les intrigues sont pas mal et intéressantes même si quelques épisodes semblent un peu en décalage.
Sal Buscema nous fait la démonstration de tout son talent. Malgré des changements d’encreurs les dessins de Sal ne souffrent pas trop.
L’arc des imposteurs est juste excellent. Il fait non seulement le lien avec l’histoire passée du personnage permettant de relier les deux cap mais offre aussi de nombreuses perspectives pour les artistes à venir sur la série. Ce que ne manquera pas de faire Roger McKenzie en 1979 en reprenant le personnage pour en faire le grand directeur du mouvement extrémiste «la force nationale».
Globalement 1972 fait partie des meilleures années de Cap dans les années 70.
Note :8,75/10
Point positif : L’arc du cap des années 50 est fabuleux. Un de mes arcs préféré avec l’empire secret (sachant que pour le moment j’en suis en 1977-1979 et je n’ai pas encore lu l’arc sur la force nationale). La présence du Caïd est rafraîchissante pour la série. Le cinquième slepper et le diabolique Crâne Rouge.
Point négatif : Les deux épisodes avec Baltroc et l’étranger. Bien qu’intéressants ces épisodes à la dimension cosmique me semblent un peu hors sujet par rapport à la série.
J’ai aussi un peu de mal à adhérer à l’association Scorpion/Mister Hyde. Il me semble que les deux personnages ne sont pas fait pour travailler ensemble (après j’ai vu essentiellement Mister Hyde avec le Cobra dans DD donc je manque peut être d’objectivité).
Modifié en dernier par JOE COMICS LOVER le lun. 21 avr. 2025, 23:55, modifié 4 fois.
- Gradatio
- Grand Manitou
- Enregistré le : mer. 29 juil. 2020, 13:04
- Localisation : sens Yonne
Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Ah oui! Totalement d'accord avec toi. L'histoire du second Cap reste un très grand souvenir de lecture à sa découverte

Tu n'es plus là où tu étais mais tu es partout là où je suis.
- reedff
- Maître Jedi
- Enregistré le : mer. 23 déc. 2009, 20:50
- Localisation : gironde
Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Tu aurais pu arrondir à 9
c'est aussi pour moi de très bons souvenirs.Par contre les grands noms sont Gil Kane et Sal Buscema.

mes recherches https://www.forumpimpf.net/viewtopic.ph ... 8#p1034138
- Fred le Mallrat
- Acharné(e)
- Enregistré le : mar. 31 déc. 2024, 11:04
Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Ça reste aussi pour moi une de mes lectures préférées, L'Imposteur.
J ai dessiné cette couverture des tas de fois gamin (j ai arrêté de dessiner assez vite)
Pour les scénaristes, ça a compté assez vite pour moi pour s imposer ensuite.
J ai été un obsédé du dessin de John Byrne comme la plupart. Cependant à la fin le scénario est plus important pour moi. J ai des comics préférés alors que je suis pas fan et même je n aime pas le dessin. Le contraire jamais.
C est personnel.
J ai dessiné cette couverture des tas de fois gamin (j ai arrêté de dessiner assez vite)
Pour les scénaristes, ça a compté assez vite pour moi pour s imposer ensuite.
J ai été un obsédé du dessin de John Byrne comme la plupart. Cependant à la fin le scénario est plus important pour moi. J ai des comics préférés alors que je suis pas fan et même je n aime pas le dessin. Le contraire jamais.
C est personnel.
- mario
- Grand Maître
- Enregistré le : dim. 08 août 2010, 15:21
- Localisation : Paris
Re: Les Intégrales Panini : les critiques
C’est intéressant. Des exemples ?Fred le Mallrat a écrit : mar. 04 mars 2025, 21:30 J ai des comics préférés alors que je suis oas fan et même je n aime pas le dessin. Le contraire jamais.
C est personnel.
J’avoue que ce n’est pas mon cas. Sans un bon dessin je n’accroche pas. Quand j’étais môme et que j’ai découvert Strange - vers 1974 - je trouvais les dessins formidables et j’étais également happé par les scénarios, fasciné par les personnages. C’est un tout.
Après, tous les goûts sont dans la nature. J’ai toujours aimé Herb Trimpe, par exemple, alors que beaucoup d’autres ne l’apprécient pas.
Autre exemple : je déteste le dessin de McFarlane. Même si les scénarios sont géniaux, je ne peux pas, je n’ai pas envie.
- Fred le Mallrat
- Acharné(e)
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Ben par exemple, je ne suis pas fan du dessin de Watchmen. Dave Gibbons est un bon dessinateur, il manie le découpage, la narration parfaitement mais son trait m'est assez indiffèrent. Je suis pas fan de Curt Swam et pourtant Whatever Happened to the man of tomorrow est dans mes classiques. From Hell ou même V pour Vendetta. Tu te dis ensuite que le dessin est parfait pour la BD en question mais si je ne fais que feuilleter, jamais je le lis et je ne cherche pas de comics par ces auteurs en particulier. Pareil pour pas mal de séries Vertigo des années 90.
Man-Thing ou Omega the Unknown ont des parties dessinées par Jim Mooney j en suis pas fan. Je lis en ce moment immortal thor qui est sabordé graphiquement et que j aime beaucoup.. le run de Nick Spencer sur Captain America a des parties assez mauvaises (là aussi Marvel a pas bien préparé son event). J 'adore la saga de la main a 6 doigts des defenders alors que bon Don Perlin c est pas du tout mon truc.
A contrario j ai pas gardé des BD de Bill Sienkiewicz, Dave McKean car au-delà du dessin je trouvais pas mon compte dans l'histoire.
En effet je ne suis pas fan de Herb Trimpe, Don Perlin, Don Heck, de l'encrage de Frank Springer ou Vince Colleta et même John Romita.. Je trouve que c'est un peu fade, ca manque de vie, on sent pas la vitesse. Je sais pas.
Je rêvais devant John Byrne, les frères Buscema, Jack Kirby mais qu'avec Joe Sinnot (j'étais jeune), Jim Starlin (pourtant c'est figé aussi souvent), Gene Colan. Je sais pas trop ce que je pensais de Steve Ditko. J'adorais Dr Strange; j'aimais bien Spidey mais je détestais son travail des années 80 (Legion des superheros, Micronautes, Machineman..).
Je sais pas trop quand j'ai découvert les comics. Consciemment vers 1980 quand j'avais 6 ans. J'étais happé mais pas par tout. Et en grandissant, je me suis concentré sur les comics. Je trouvais souvent les dessins de BD européenne pas assez dynamique, les scenarios trop fades (je fais des généralités évidemment: je continue de trouver Gotlieb et Franquin formidables par exemple). Le manga, en général même les chef d'œuvre je trouvais ca bien mais sans plus.
Je ne suis pas fan de Mcfarlane. Je lis mais je trouve que certains visages sont quand même loupé et que certains raccourcis. Mais encore aujourd'hui j'aime des scénaristes (Al Ewing ces temps ci par exemple) ou des dessinateurs (Pepe Larraz pour le coté très super-héros classique par exemple). Depuis les années 60, je trouve qu'il y a toujours des séries ci et là, souvent celles dont on attend le moins qui sont intéressantes. Je réfute que Spider-man, X-Men ou Batman soient des séries bien meilleures que les autres (même Daredevil).
Man-Thing ou Omega the Unknown ont des parties dessinées par Jim Mooney j en suis pas fan. Je lis en ce moment immortal thor qui est sabordé graphiquement et que j aime beaucoup.. le run de Nick Spencer sur Captain America a des parties assez mauvaises (là aussi Marvel a pas bien préparé son event). J 'adore la saga de la main a 6 doigts des defenders alors que bon Don Perlin c est pas du tout mon truc.
A contrario j ai pas gardé des BD de Bill Sienkiewicz, Dave McKean car au-delà du dessin je trouvais pas mon compte dans l'histoire.
En effet je ne suis pas fan de Herb Trimpe, Don Perlin, Don Heck, de l'encrage de Frank Springer ou Vince Colleta et même John Romita.. Je trouve que c'est un peu fade, ca manque de vie, on sent pas la vitesse. Je sais pas.
Je rêvais devant John Byrne, les frères Buscema, Jack Kirby mais qu'avec Joe Sinnot (j'étais jeune), Jim Starlin (pourtant c'est figé aussi souvent), Gene Colan. Je sais pas trop ce que je pensais de Steve Ditko. J'adorais Dr Strange; j'aimais bien Spidey mais je détestais son travail des années 80 (Legion des superheros, Micronautes, Machineman..).
Je sais pas trop quand j'ai découvert les comics. Consciemment vers 1980 quand j'avais 6 ans. J'étais happé mais pas par tout. Et en grandissant, je me suis concentré sur les comics. Je trouvais souvent les dessins de BD européenne pas assez dynamique, les scenarios trop fades (je fais des généralités évidemment: je continue de trouver Gotlieb et Franquin formidables par exemple). Le manga, en général même les chef d'œuvre je trouvais ca bien mais sans plus.
Je ne suis pas fan de Mcfarlane. Je lis mais je trouve que certains visages sont quand même loupé et que certains raccourcis. Mais encore aujourd'hui j'aime des scénaristes (Al Ewing ces temps ci par exemple) ou des dessinateurs (Pepe Larraz pour le coté très super-héros classique par exemple). Depuis les années 60, je trouve qu'il y a toujours des séries ci et là, souvent celles dont on attend le moins qui sont intéressantes. Je réfute que Spider-man, X-Men ou Batman soient des séries bien meilleures que les autres (même Daredevil).
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Oui c'est vrai a différence est marginale en fin de compte :)reedff a écrit : mar. 04 mars 2025, 20:43 Tu aurais pu arrondir à 9c'est aussi pour moi de très bons souvenirs.Par contre les grands noms sont Gil Kane et Sal Buscema.
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
mario a écrit : mar. 04 mars 2025, 22:55
Après, tous les goûts sont dans la nature. J’ai toujours aimé Herb Trimpe, par exemple, alors que beaucoup d’autres ne l’apprécient pas.
Oui tout à fait. Quand j'étais plus jeune j'appréciaus beaucoup Carmine Infantino entre autre alors que j'avais beaucoup de mal avec Steve Ditko et même Jack Kirby.
Aujourd'hui c'est l'inverse. Je suis beaucoup moins fan d'Infantino mais je porte un autre regard sur Ditko et Kirby . J'aprecie davantage.
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
Pour moi c'est le contraire, un mauvais scénario peut-être enjolivé par les dessins. Si les dessins sont imbuvables c'est à dire trop expérimentaux, je ne peux pas comprendre l'histoire exemple Dave McKean sur Arkham Asylum.Fred le Mallrat a écrit : mar. 04 mars 2025, 21:30 Ça reste aussi pour moi une de mes lectures préférées, L'Imposteur.
J ai dessiné cette couverture des tas de fois gamin (j ai arrêté de dessiner assez vite)
Pour les scénaristes, ça a compté assez vite pour moi pour s imposer ensuite.
J ai été un obsédé du dessin de John Byrne comme la plupart. Cependant à la fin le scénario est plus important pour moi. J ai des comics préférés alors que je suis pas fan et même je n aime pas le dessin. Le contraire jamais.
C est personnel.
mes recherches https://www.forumpimpf.net/viewtopic.ph ... 8#p1034138
- reedff
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Re: Les Intégrales Panini : les critiques
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